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Routiers: les négociations salariales se soldent par un "échec total"
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L'essentiel
- Le patronat proposait une revalorisation salariale de 2 % pour les plus bas salaires, loin des 5 % réclamés par les syndicats.
- Constatant l'échec des négociations, les syndicats se réuniront mercredi pour décider des suites à donner à leur mouvement, entamé le 18 janvier.
Point mort pour les transporteurs. L'ultime séance de négociations salariales dans le transport routier de marchandises s'est conclue, lundi 9 février, sur un « échec total », selon les syndicats, qui se réuniront mercredi soir en intersyndicale pour décider des suites à donner à leur mouvement.
Les organisations patronales proposaient une revalorisation salariale de 2 % pour les plus bas salaires de la convention collective, loin des 5 % réclamés par les syndicats pour l'ensemble des salariés. Lundi, elles « sont revenues avec les mêmes propositions » que la semaine dernière, déjà rejetées en bloc par les syndicats, a indiqué Patrice Clos, du syndicat FO.
« DOGMATISME TRÈS IMPORTANT »
Les coefficients les plus bas de la grille sont actuellement inférieurs au salaire minimum, ce qui oblige les entreprises à verser un complément quand elles appliquent les taux conventionnels à l'embauche. Les cinq syndicats représentatifs réclamaient également l'instauration d'un treizième mois et la suppression de la carence maladie. Des revendications que le patronat avait qualifiées d'« irréalistes » et « déconnectées des réalités économiques ».
« On est arrivés dans une situation de blocage » avec une partie patronale faisant preuve d'une « dogmatisme très important », selon Thierry Douine, président de la CFTC Transports.
PAS DE BLOCAGE PRÉVU
L'intersyndicale (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC) a multiplié en janvier les opérations de blocage. Elle pourrait décider de poursuivre son mouvement, mais les syndicats privilégient pour l'instant une réponse plus « politique », plutôt que des actions sur le terrain, selon M. Douine : « On va aller dans le sens d'un blocage systématique des négociations sociales dans toutes les branches du transport. »
Avant la reprise des négociations lundi, la CFDT Transports avait menacé en cas d'échec de ne pas signer d'accord sur la formation professionnelle. Les entreprises du secteur seraient alors privées d'une manne financière conséquente, selon elle.