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Tsipras veut toujours négocier avec l’UE...
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(Le Monde) Le premier ministre grec Alexis Tsipras a appelé samedi 27 juin, dans un discours devant le parlement, à dire « un grand non à l'ultimatum » des créanciers du pays lors du référendum proposé par son gouvernement qui aura lieu le 5 juillet, et dont les députés ont approuvé l’organisation samedi dans la nuit.
S'adressant aux parlementaires, Alexis Tsipras a estimé que « le peuple grec dira un grand non à l'ultimatum mais en même temps un grand oui à l'Europe de la solidarité », et s'est dit persuadé qu'« au lendemain de ce fier non, la force de négociation du pays sera renforcée » avec ses créanciers — Commission européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international.
Non aux « institutions », Oui à l’Europe
« Dans le pays où est née la démocratie, nous ne demanderons pas l'autorisation à M. Dijsselbloem (le président de l'Eurogroupe) et à M. Schaüble (ministre allemand des Finances) » de tenir un référendum, a encore déclaré le Premier ministre. « Ni les menaces, ni le chantage ni les tentatives d’instaurer la panique ne changeront la volonté du peuple grec de vivre dans la dignité », a-t-il insisté.
Il a également vertement reproché aux ministres des finances membres de la zone euro de s'être réunis samedi « en excluant un de leurs membres », le ministre grec des finances, Yanis Varoufakis, d'une partie des débats. Il a aussi estimé que durant les derniers mois de discussions sur la reprise du financement des créanciers à la Grèce, Athènes avait fait « une tentative sincère de négociations » visant « un accord mutuellement bénéfique » et était allé « au bout des concessions possibles ».
Selon Alexis Tsipras, le refus des interlocuteurs de la Grèce de prendre en compte les propositions d'Athènes traduit une volonté de « punir une voix différente en Europe » et il a déploré que se soit enclenchée, après l'annonce du référendum, « une propagande de peur qui va culminer dimanche prochain », jour de la consultation.