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Turquie: la police réprime violemment une manif pro-kurdes
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Monde) La police turque a fait usage de grenades lacrymogènes, de balles en caoutchouc et de canons à eau mardi 1er septembre pour disperser, dans le centre d’Istanbul, une manifestation contre l’offensive anti-kurdes menée par le gouvernement.
Le rassemblement, auquel participaient environ 500 personnes, avait débuté paisiblement au début de la célèbre rue Istiklal dans la partie européenne de la ville. La police est intervenue au milieu de cette rue lorsque les manifestants ont commencé à scander des slogans hostiles au gouvernement islamo-conservateur du président Recep Tayyip Erdogan et qu’ils ont protesté contre l’offensive qu’il a lancé contre les militants kurdes. Les manifestants tentaient de former une chaîne humaine jusqu’à la place Taksim.
14 arrestations
La police a dirigé ses jets de canons à eau vers le milieu de l’avenue, dans cette zone commerciale très fréquentée, et a lancé des grenades lacrymogènes alors que les manifestants tentaient de se mettre à l’abri.
Un photographe turc qui collabore avec l’AFP a été brièvement arrêté et, selon les médias, un cameraman de l’agence de presse officielle Anatolie a été blessé. Au total, 14 personnes ont été arrêtées lors de cette intervention policière selon Anatolie.
Ankara a lancé le 24 juillet une « guerre contre le terrorisme » visant simultanément le PKK, mettant ainsi fin à une trêve en vigueur depuis 2013, et les combattants de l’Etat islamique (EI) en Syrie. Mais les dizaines de raids aériens qui ont suivi se sont concentrés sur la guérilla kurde. De son côté, le PKK a repris ses attaques contre l’armée et la police à travers la Turquie, tuant une cinquantaine de membres des forces de sécurité depuis la fin de juillet, selon un décompte de la presse turque.
Au mois de juillet, le président turc Recep Tayyip Erdogan, a assuré que la campagne se poursuivrait « jusqu’à ce qu’il ne reste plus un seul terroriste à l’intérieur de nos frontières »