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Paris indigné par les banderoles de Geoffroy-Guichard
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Stade Geoffroy-Guichard, dimanche. Les supporteurs stéphanois ont déployé plusieurs banderoles avec des messages hostiles envers la direction du PSG.(Presse Sports/Jérôme Prévost.)
Les dirigeants parisiens n'ont pas apprécié les banderoles déployées par les supporteurs de Saint-Etienne à Geoffroy-Guichard dimanche soir. Ces derniers voulaient manifester leur opposition aux mesures de répression contre le milieu ultra, symbolisées à leurs yeux par la politique parisienne.
Tout au long de la rencontre, les messages se sont succédé. « Deux minutes pour montrer aux Qatariens ce qu'ils ont fait à Paris », ont d'abord affiché les deux groupes de supporteurs avant de rester silencieux puis de démarrer leurs encouragements en déployant une banderole au début de la troisième minute : « Le temps d'un match pour leur montrer que notre passion est plus forte que leur répression ! » « C'était une manière de dire :Regardez le Parc, voulez-vous vraiment que ça se passe comme ça chez nous ? » décrypte l'un des acteurs de la manifestation.
D'autres bannières à portée plus politique ont ensuite été déployées : « Argent sale accepté, libertés bafouées, classes populaires écartées : bienvenue au PSG », ainsi que « Le Parc est devenu un cimetière, vous n'emporterez pas votre argent au paradis. Pray for Paris ». Dans un courrier adressé à la LFP (Ligue de football professionnel) et signé par le directeur général délégué Jean-Claude Blanc, le PSG dénonce « des banderoles dénigrantes, voire insultantes », comme l'a dévoilé le journal « l'Equipe » hier. Le club détaille ses récriminations : « Plus encore que les messages odieux, c'est leur longueur, leur temps d'exposition conjugués à l'inaction des services d'ordre du club recevant qui est incompréhensible et totalement inadmissible. »
Enquête interne à Saint-Etienne
Le club de Saint-Etienne a diligenté une enquête interne et reconnaît un dysfonctionnement dans son contrôle. Les groupes de supporteurs, protégés par la liberté d'expression, ne risquent pas grand-chose. En revanche, le règlement de la LFP intime aux clubs d'empêcher l'apparition de toute banderole politique. En début d'année, Bastia avait été condamné à 35 000 € d'amende pour des messages anti-Qatariens. La commission de discipline de la Ligue va s'emparer du dossier.