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Grèce: le ministre des Finances appelle l’Eurogroupe à approuver les réformes
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(La Tribune) Les ministres des Finances des 19 pays de la zone euro doivent se réunir lundi à Bruxelles pour discuter de la dette de la Grèce et des nouvelles mesures qu'Athènes doit mettre en oeuvre pour atteindre ses objectifs budgétaires en 2018.
Le ministre grec des Finances, Euclide Tsakalotos, a appelé samedi ses pairs de la zone euro à approuver lors de l'Eurogroupe prévu pour lundi, les réformes effectuées par son pays, ce qui aiderait "les investissements et la reprise" de son pays.
"La Grèce a besoin d'une déclaration claire sur les mesures (les réformes NDRL) en cours et celles qui seront prises ce qui aiderait le pays (à retrouver) la confiance des investisseurs et la reprise", écrit M. Tsakalotos dans un courrier adressé à ses homologues de la zone euro et dont l'AFP a obtenu copie.
Athènes attend un signal positif de Bruxelles
Cette "déclaration claire" de l'Eurogroupe doit souligner que "la Grèce se trouve sur la bonne voie", explique le ministre des Finances grec.
"Cela aiderait à transformer le cercle vicieux des mesures de rigueur en un cercle vertueux basé sur la croissance", poursuit-il.
Lors de l'Eurogroupe de lundi, les 19 ministres des Finances de la zone euro doivent à nouveau se pencher sur l'évaluation des réformes en Grèce, réclamées par l'Union européenne et le FMI après le prêt international octroyé à Athènes en juillet 2015.
Après des mois des discussions, ces réformes n'ont pas encore reçu le satisfecit des créanciers en raison surtout des divergences entre l'Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI).
Nouvel ultimatum du FMI
Selon une lettre du FMI adressée aux ministres de l'Eurogroupe,révélée vendredi par le Financial Times, et dont l'AFP a obtenu copie, la directrice de l'institution Christine Lagarde a fait pression sur l'UE pour ouvrir la discussion sur la dette.
Elle souligne aussi la nécessité d'une révision à la baisse de l'objectif d'un excédent budgétaire primaire (hors service de la dette) de 3,5% du PIB pour 2018, jugé "contreproductif" par le Fonds et entraînant des mesures supplémentaires.
L'institution financière menace même de ne pas participer au programme grec si la discussion sur la dette ne commence pas lundi.
De nouvelles réformes ? "Oxi"!
Les créanciers ont récemment réclamé des mesures additionnelles de 3,6 milliards d'euros mais M. Tsakalotos rétorque "qu'un tel paquet de mesures ne peut pas être voté par le gouvernement actuel et par aucun gouvernement démocratique".
Il rappelle que son gouvernement a déjà accepté de prendre des mesures de 5,4 milliards d'euros et qu'une réforme de retraites et de la fiscalité sera soumise au vote au Parlement dimanche.
"Tous les éléments pour conclure l'évaluation des réformes et procéder à l'allègement de la dette sont rassemblés", conclut-il.
Les syndicats grecs observent depuis vendredi une grève de 48 heures et prévoient des manifestations dimanche.
(Avec AFP)