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Karl Marx, « Le Capital », Livres I, II et III (en PDF).

Marx

Lien publiée le 29 août 2016

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Karl Marx

Le Capital

*

Livres I, II et III 

« Il semble qu'il soit juste de commencer par le réel et le concret [...]. Cependant, à examiner les choses de plus près, cela s'avère faux »

(Karl Marx, Introduction aux Grundrisse dite « de 1857 », dans une traduction nouvelle de G. Fondu et J. Quétier, in Contribution à la critique de l'économie politique, éd. sociales, 2014, p.48)

Ci-dessous les trois PDF :

Karl Marx, Le Capital, Livre I. Le procès de production du capital (éditions sociale) dans la traduction établie sous la direction de Jean-Pierre Lefebvre. 

Karl Marx, Le Capital, Livre II, Le procès de la circulation du capital (dans la traduction de Erna Cogniot, Cohen-Solal, Gilbert Badia)

Karl Marx, Le Capital, Livre III, Le procès d'ensemble de la production capitaliste (dans la traduction de Cohen-Solal et Gilbert Badia)

Repenser Le Capital à la lumière des Grundrisse

« Même si Marx, dans les Grundrisse, n’avait pas encore mis au point tous les aspects de sa future théorie, les lignes de force de sa critique de la modernité capitaliste, ainsi que la nature et la portée des catégories fondamentales de cette critique, y apparaissent déjà très clairement. Le Capital est plus difficile à déchiffrer et sa lecture prête volontiers à malentendu dans la mesure où il est très strictement structuré sous la forme d’une critique immanente, à savoir une critique entreprise à partir d’un point de vue immanent à son objet d’investigation. Pour cette raison, ses catégories peuvent être mal comprises et perçues comme affirmatives plutôt que critiques. C’est ainsi que, bien trop souvent, on a pris l’objet de la critique marxienne pour son point de vue – un problème sur lequel nous reviendrons. Le risque de mésinterprétation est moins grand à la lecture des Grundrisse, qui ne sont pas structurés de manière aussi rigoureuse. Étant donné que Marx, dans ce manuscrit, travaillait encore à mettre au point son analyse catégorielle, l’intention stratégique y est plus accessible que dans Le Capital. Partant, les Grundrissepeuvent éclairer la nature et les lignes de force de la critique de l’économie politique que produisit Marx par la suite. Lue à travers le prisme du manuscrit de 1857-1858, ladite critique pourrait fournir la base d’une théorie critique du monde contemporain plus adéquate que celle qui est possible au sein d’un cadre marxiste traditionnel » 

Moishe Postone, « Repenser Le Capital à la lumière des Grundrisse ».

« L’échange de travail vivant contre du travail objectivé, c’est-à-dire la position du travail social sous la forme de l’opposition entre capital et travail salarié, est le dernier développement du rapport de valeur et de la production reposant sur la valeur »

(Marx, Manuscrits de 1857-1858 dits Grundrisse, éd. sociales, 2011, p. 660).

Voir également : 

Traduire Marx, c'est le trahir.

Sur les traduction à utiliser pour lire Marx afin de servir à la critique de la valeur

Karl Marx (1818-1883)