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Mélenchon regrette…

Mélenchon

Lien publiée le 9 novembre 2016

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Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

http://www.anti-k.org/2016/11/08/melenchon-regrette/#.WCLGjPl_NBd

LR: Au cœur de cette pantalonnade politicarde, la maîtrise des investitures pour les législatives, menaces mélenchonniennes répétées ad nauseam contre le blocage des parrainages de la candidature jlm2017 par les élus PC. La farce de la possible candidature d’un communiste aux prochaines présidentielles cache mal les sourdes tractations, qui n’ont strictement rien à voir avec des discussions programmatiques ou d’organisation de l’unité de la vraie gauche, dont ces politiciens professionnels se foutent éperdument en dehors du regard des affidés. Qui de Mélenchon ou de Montebourg est en mesure de permettre au parti d’obtenir un nombre de candidats substantiels, ce qui est déterminant pour les financement et un groupe parlementaire, question de vie ou de mort pour l’appareil communiste. Spectacle affligeant qui confère au FN la place du vrai opposant à ce gouvernement anti-populaire. Bravo les artistes ! http://www.anti-k.org/2016/11/06/2017-revolution-de-palais-au-pcf/

Mélenchon regrette de ne pas avoir été invité par les communistes (qui ne sont plus des abrutis …)

Modifié le 07/11/2016

Jean-Luc Mélenchon regrette ne pas avoir été « invité » à s' »exprimer devant les communistes ». | Photo : Ou

Jean-Luc Mélenchon regrette ne pas avoir été « invité » à s' »exprimer devant les communistes » et à « répondre » à leurs questions avant que les cadres du parti refusent de soutenir sa candidature à l’élection présidentielle.

« J’aurais aimé être invité à m’exprimer devant les communistes et à répondre aux questions qu’ils se posent à mon sujet. Cela n’a jamais été envisagé. Tout est passé par des répliques et des commentaires de commentaires, transitant par une presse souvent prompte à inventer pour envenimer », déclare l’eurodéputé dans un billet de blog posté dimanche.

Il répète à plusieurs reprises ne pas vouloir « commenter » la décision du Parti communiste en vue de la présidentielle de 2017 : il n’a « pas l’intention de (s’)ingérer dans la discussion en cours dans les sections communistes » puisque les adhérents du parti auront le dernier mot dans un vote réalisé entre le 24 et le 26 novembre.

Lire aussi. Les proches de Mélenchon minimisent l’absence de soutien du PCF

« Je me réjouissais »

Samedi, contre l’avis du secrétaire national du Parti communiste, Pierre Laurent, les cadres réunis en Conférence nationale ont voté à 55% pour une candidature communiste plutôt qu’un ralliement à M. Mélenchon.

« Je me réjouissais d’apprendre dans la presse que le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, proposait désormais de soutenir ma candidature », raconte le candidat dans son billet, reconnaissant y avoir vu « une bonne nouvelle » car « considérée par les commentateurs comme un atout pour notre campagne ».

« Mais j’ai bien fait de refuser de la commenter aussitôt (…) car quelques heures plus tard, le tableau changeait totalement », poursuit-il, déplorant que « le pilonnage dans un registre purement personnel a(it) aussitôt recommencé ».

M. Mélenchon, qui avait représenté les communistes en 2012 dans le cadre du Front de gauche et avait alors engrangé 11% des voix, souhaite en outre apaiser les réticences exprimées par les communistes face à la structure politique qu’il a bâtie depuis février autour de sa candidature,« La France insoumise », rappelant que cette dernière « n’a demandé à aucun parti de se dissoudre en son sein ».

« Rien n’a changé »

Quant aux législatives, qui inquiètent beaucoup les communistes, elles verront l’investiture de candidats de la « France insoumise » dans « les 577 circonscriptions » mais « tous ceux qui veulent participer » au processus d’investiture pourront le faire, assure le candidat.

« Rien n’a changé ce week-end pour nous. Dommage ! On attendait du renfort. Mais chacun voit mieux que nous avons bien fait de nous en tenir de longue date à notre propre calendrier public », estime-t-il, refusant de « dépendre de palabres dont on vérifie à présent combien elles auraient été vaines ».

« Nous continuerons donc du même pas stable et sûr. Et bienvenue de grand cœur à tous ceux qui veulent rejoindre cette belle bataille et y prendre sa part d’efforts », ajoute-t-il.