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Médicaments : pourquoi il y a rupture de stock en pharmacie
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Nouvel Obs) Les pénuries répétées de médicaments inquiètent l'Ordre des pharmaciens qui s'alarme sur son site, relèvent "les Echos". De février 2015 à novembre 2016, quelque 200.000 déclarations de rupture de stock ont été enregistrées en France, en forte hausse. Un médicament est déclaré en rupture quand une pharmacie (d'officine ou de centre de soins) est "dans l'incapacité de le dispenser à un patient dans un délai de 72 heures".
"Les vaccins sont les plus touchés (22% manquants), suivis par les produits dermatologiques (6 ), les hormones systémiques (6%), les hormones sexuelles ou génito-urinaires (8%), et les médicaments ciblant muscles et squelettes (3,1%). La pénurie touche toutes les classes de médicaments, y compris des traitements contre la ménopause ou la thyroïde", relève le quotidien.
La durée moyenne de rupture est aujourd'hui de 109 jours, selon l'organisation professionnelle. C'était deux fois moins il y a un an.
Flux tendu dans les labos et en pharmacie
Pour expliquer ces ruptures de stock de plus en plus importantes, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) parle dans son rapport annuel "de nouvelles stratégies industrielles de rationalisation des coûts de production, qui conduisent les laboratoires à produire en flux tendu", note France Info.
Certaines molécules sont produites dans une seule usine dans le monde, notamment en Chine ou en Inde, où se trouvent de nombreux sites. Il suffit alors d'un problème d'approvisionnement en matières premières, d'un souci sur la chaîne de fabrication, ou encore d'un atelier fermé, pour que la production s'arrête et que les pharmacies ne soient plus approvisionnées.
Dans les pharmacies françaises aussi, la gestion à flux tendu est devenue la norme. Il arrive que de nombreuses officines se retrouvent privées au même moment d'un même médicament, à la suite d'un accident de transport, d'un retard ou d'une mauvaise anticipation.