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Penelope Fillon aurait été rémunérée depuis 1982 à l’Assemblée nationale
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Selon Mediapart, l'épouse de François Fillon aurait été rémunérée dès 1982 à l'Assemblée nationale. Une version qui contredit les déclarations du candidat.
L’accalmie aura été de courte durée pour François Fillon depuis sa mise en examen dans l’affaire des emplois fictifs de son épouse et de ses enfants, le 14 mars. SelonMediapart, ce lundi, l’ancien Premier ministre a menti sur la date à laquelle il a employé sa femme, Pénélope, à l’Assemblée nationale.
Le site d’information affirme que Pénélope Fillon a été rémunérée dès 1982, un an après la première élection de son mari comme député de la Sarthe. «Penelope Fillon a en fait bénéficié d’argent public dès le premier mandat parlementaire de son mari, grâce à des contrats d’études ou de missions commandées par celui-ci», détaille Mediapart, qui ajoute que les enquêteurs de l’anticcoruption (OCLCIFF) sont à la recherche du produit de ce travail.
Une confusion dans les dates
Mis en examen pour détournements de fonds publics, complicité et recel d'abus de biens sociaux et manquement aux obligations de déclaration sur la transparence de la vie publique, François Fillon a donné, depuis le début de l’affaire, plusieurs dates à laquelle son épouse aurait commencé à être rémunérée en tant qu’assistante parlementaire. Sur le plateau de TF1, le 26 janvier, il avait bien avancé que celle-ci travaillait pour lui depuis 1981, mais il avait également souligné qu’elle l’avait fait «bénévolement» jusqu’en 1997, date où elle aurait été officiellement embauchée à l’Assemblée nationale.
Dans les jours suivants, le candidat avait corrigé ses affirmations, évoquant 1988 puis 1986. Les révélations de Mediapart de ce lundi mettent en cause cette dernière version. Pénélope Fillon est quant à elle poursuivie depuis le 28 mars pour complicité et recel de détournements de fonds publics, complicité et recel d'abus de biens sociaux et recel d'escroquerie aggravée.