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La CGT appelle à une journée d’actions et de grève le 12 septembre
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Pour le syndicat, ce projet défendu par Emmanuel Macron est pire que la précédente loi travail, qui avait été combattue dans la rue durant plusieurs mois.
C’est un appel qui anticipe un « dialogue social pipé d’avance ». La CGT veut faire du 12 septembre une journée « d’action et de grève » dans « toutes les entreprises et services », contre la réforme du code du travail engagée par le gouvernement, a annoncé mardi 27 juin le syndicat dans un communiqué.
Dans ce texte, la CGT prévient qu’elle refuse « d’ores et déjà d’entendre dire fin septembre que les ordonnances (…) auraient été coélaborées » sous prétexte qu’une concertation a été engagée avec les partenaires sociaux par le ministère du travail. Pour le syndicat, ce projet est « pire que la précédente » loi travail, qui avait été combattue dans la rue durant plusieurs mois.
« Démantèlement du code du travail »
Environ un milliers de personnes se sont réunies mardi 27 juin à Paris, place des Invalides, à l’appel d’une intersyndicale CGT-FO-Solidaires-UNEF-FSU, pour protester contre « le démantèlement du code du travail ». L’extension du CDI de chantier à d’autres secteurs et « la possibilité de licencier des salariés qui refuseraient d’adapter leur contrat de travail à un accord d’entreprise, même minoritaire », font partie des dispositions auxquelles la CGT est opposée.
Le projet de loi qui entend réformer par ordonnances le code du travail sera présenté mercredi en conseil des ministres. Emmanuel Macron, qui avait fait de la réforme du droit du travail une de ses priorités, n’était pas rentré dans les détails, durant la campagne, attendant la phase de négociations avec les partenaires sociaux. Mais il avait exposé les grandes lignes de son projet.
Des orientations qui se retrouvent aujourd’hui dans le texte de ce « projet de loi d’habilitation », qui autorise l’exécutif à prendre des « mesures pour la rénovation sociale ». Assez court, il fait six pages et comprend neuf articles, très synthétiques – ce qui est la nature même de ce type de texte.
Il offre notamment la possibilité pour les entreprises de négocier des accords dans le plus grand nombre de domaines possible ou encore du plafonnement des indemnités prud’homales. Les détails des ordonnances, eux, seront arbitrés à l’issue des négociations avec les syndicats prévues cet été.