Agenda militant
Ailleurs sur le Web
- "Défaire la machinerie étatique". Entretien avec Alain Badiou (03/05)
- Guillaume Meurice est suspendu par Radio France après avoir répété ses propos sur Nétanyahou (02/05)
- Révolution des Œillets : Les masses en mouvement contre le colonialisme et le fascisme (02/05)
- Pascal Boniface : "L’Occident a perdu le monopole de la puissance" (02/05)
- Pas un centime, pas une balle pour la machine de guerre israélienne ! (01/05)
- Les ouvriers cinq fois plus victimes d’accidents du travail que les cadres (01/05)
- 1er mai : les syndicats doivent organiser la solidarité avec le peuple palestinien (30/04)
- Boyard face à Apolline de Malherbe (30/04)
- Meeting à Grenoble avec Manon Aubry, Damien Carême, Mathilde Panot et Arash Saeidi (30/04)
- 500 étudiants en AG à Tolbiac, plusieurs facs bloquées : le mouvement pour la Palestine continue ! (30/04)
- "C ce soir", ou quand la bourgeoisie chic organise sa propre cécité (30/04)
- Mathilde Panot et Rima Hassan - Discours contre la censure (30/04)
- Emmanuel Terray, marxiste constant (1935-2024) (29/04)
- Révolution portugaise. Les luttes paysannes, facteur de radicalisation (28/04)
- Portugal, "Une révolution totale". Entretien avec Raquel Varela (28/04)
- Portugal, 25 avril 1974. Cinquante ans et quelques leçons (28/04)
- PRO-MACRON, EMPLOI FICTIF ETC : QUE SE PASSE-T-IL AU CANARD ENCHAÎNÉ ? (28/04)
- Gilles Deleuze sur Israël et la Palestine dans "Deux régimes de fous" (1983) (28/04)
- Grève dans une usine d’emboutissage d’Aulnay-sous-Bois (28/04)
- Comprendre le retour de l’inflation dans la crise globale du capitalisme (28/04)
- Macron l’Américain, la France livrée aux Gafam ? (28/04)
- Les luttes à Renault-Billancourt (27/04)
- Les élections européennes, la crise du gouvernement et la faillite de "la gauche" (27/04)
- Appel à mobilisation – Pour la liberté d’opinion et contre la censure ! (27/04)
- Tribune: Contre une démocratie bâillonnée, défendons les libertés publiques (27/04)
Liens
- Notre page FaceBook
- Site du NPA
- Démosphère (Paris, IdF)
- Site anti-k.org
- Le blog de Jean-marc B
- CGT Goodyear
- Démocratie Révolutionnaire
- Fraction l'Étincelle
- Anticapitalisme & Révolution
- Révolution Permanente (courant CCR)
- Alternative Communiste Révolutionnaire (site gelé)
- Ex-Groupe CRI
- Librairie «la Brèche»
- Secteur jeune du NPA
- Marxiste.org
- Wiki Rouge, pour la formation communiste révolutionnaire
La CGT appelle à une journée d’actions et de grève le 12 septembre
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Pour le syndicat, ce projet défendu par Emmanuel Macron est pire que la précédente loi travail, qui avait été combattue dans la rue durant plusieurs mois.
C’est un appel qui anticipe un « dialogue social pipé d’avance ». La CGT veut faire du 12 septembre une journée « d’action et de grève » dans « toutes les entreprises et services », contre la réforme du code du travail engagée par le gouvernement, a annoncé mardi 27 juin le syndicat dans un communiqué.
Dans ce texte, la CGT prévient qu’elle refuse « d’ores et déjà d’entendre dire fin septembre que les ordonnances (…) auraient été coélaborées » sous prétexte qu’une concertation a été engagée avec les partenaires sociaux par le ministère du travail. Pour le syndicat, ce projet est « pire que la précédente » loi travail, qui avait été combattue dans la rue durant plusieurs mois.
« Démantèlement du code du travail »
Environ un milliers de personnes se sont réunies mardi 27 juin à Paris, place des Invalides, à l’appel d’une intersyndicale CGT-FO-Solidaires-UNEF-FSU, pour protester contre « le démantèlement du code du travail ». L’extension du CDI de chantier à d’autres secteurs et « la possibilité de licencier des salariés qui refuseraient d’adapter leur contrat de travail à un accord d’entreprise, même minoritaire », font partie des dispositions auxquelles la CGT est opposée.
Le projet de loi qui entend réformer par ordonnances le code du travail sera présenté mercredi en conseil des ministres. Emmanuel Macron, qui avait fait de la réforme du droit du travail une de ses priorités, n’était pas rentré dans les détails, durant la campagne, attendant la phase de négociations avec les partenaires sociaux. Mais il avait exposé les grandes lignes de son projet.
Des orientations qui se retrouvent aujourd’hui dans le texte de ce « projet de loi d’habilitation », qui autorise l’exécutif à prendre des « mesures pour la rénovation sociale ». Assez court, il fait six pages et comprend neuf articles, très synthétiques – ce qui est la nature même de ce type de texte.
Il offre notamment la possibilité pour les entreprises de négocier des accords dans le plus grand nombre de domaines possible ou encore du plafonnement des indemnités prud’homales. Les détails des ordonnances, eux, seront arbitrés à l’issue des négociations avec les syndicats prévues cet été.