[RSS] Twitter Youtube Page Facebook de la TC Articles traduits en castillan Articles traduits en anglais Articles traduits en allemand Articles traduits en portugais

Agenda militant

Newsletter

Ailleurs sur le Web [RSS]

Lire plus...

Twitter

Poursuivre le combat pour un NPA révolutionnaire, construire le parti dans les luttes

Tribune parue dans "Tout est à nous" du 7 février

Nous avons défendu le projet Z pour un NPA révolutionnaire, démocratique et ouvert, pour le communisme, un programme de transition axé sur le gouvernement des travailleurs, la construction en priorité dans la classe ouvrière, sans négliger les luttes écologistes, féministes, LGBTI.

Nous avons combattu l’orientation de la majorité X qui, avec son axe du "gouvernement anti-austérité", ouvre encore plus la porte à une "alternative politique" commune avec les réformistes sans rupture avec l’État capitaliste.

Avec des camarades W et une majorité de la base, nous avons contribué à démocratiser le parti (proportionnelle, rotation mandats).

Nous avons proposé à la Y de défendre ensemble nos positions communes. Les camarades n’ont pas voulu, mais ont intégré nos propositions pour la lutte de classe immédiate et nous avons donc voté leur "feuille de route" (priorité aux luttes). Nous regrettons qu’une majorité (X, W, CCR) ne l’ait pas votée. Nous proposons aux camarades Y, à toutEs celles et ceux qui le veulent, de nous concerter pour réaliser ces tâches, en convaincre les comités.

Et, pour que notre parti change d’orientation et redevienne attractif, nous renouvelons notre proposition d’une grande tendance révolutionnaire pluraliste du NPA.

Télécharger au format pdf

Ces articles pourraient vous intéresser :

France

Les compromissions de la gauche bourgeoise face à l’impasse des négociation

La nomination de F. Bayrou et la formation de son gouvernement auront rapidement permis de confirmer ce que l’on savait déjà : le front électoral du NFP, formé dans le but tactique d’empêcher la victoire de l’extrême droite aux législatives, ne devait en aucun cas être considéré comme une alliance durable. Le PS et le reste de la gauche libérale ne se sont ralliés au programme du NFP (et avant cela de la NUPES) que dans le but d’obtenir pour eux-mêmes un maximum de sièges à l’Assemblée. Entre LFI et cette gauche, il n’y a ni projet commun ni même stratégie partagée. Ainsi, face au nouveau gouvernement Bayrou, les contradictions internes au NFP éclatent plus violemment que jamais et deux perspectives diamétralement opposées se dégagent de plus en plus nettement.

  Lire la suite...

Télécharger en pdf Tweeter Facebook

International

La chute de Bachar al-Assad, après les succès militaires d’Israël, ouvre la voie à une reconfiguration du Moyen-Orient favorable aux impérialistes occidentaux

La chute surprise et rapide de Bachar al Assad est une victoire différée du soulèvement populaire syrien de 2011, qui s'est poursuivi en partie sous les formes de la guerre civile. Si ce sont des islamistes radicaux qui l'ont emporté militairement, avec le soutien de la Turquie, cela est arrivé avec le soutien massif de la population syrienne, qui voulait avant tout la chute du dictateur sanguinaire. Cela donne une situation contradictoire : le pouvoir est aux mains d'islamistes radicaux sur lesquels on ne peut se faire aucune illusion, d'autant qu'ils essaient de montrer patte blanche aux impérialistes occidentaux, mais le peuple syrien aspire plus que jamais à la démocratie, aux droits humains et sociaux, et n'acceptera certainement pas la mise en place d'un nouveau régime oppressif et réactionnaire.

  Lire la suite...

Télécharger en pdf Tweeter Facebook

France

Le gouvernement Bayrou : dernier avatar de la macronie avant la crise terminale ?

Après la censure du gouvernement Barnier, les palabres à l’Elysée ont repris. Le PS, les Ecologistes et le PCF s’y sont précipités en demandant un « premier ministre de gauche » et à défaut en se disant ouverts à un « accord de non censure ». Les plus allants sur ce terrain ont été les socialistes qui exigeaient un engagement à ne pas recourir au 49-3 et quelques menues inflexions sur la politique suivie. Ce que ces partis de gauche veulent à tout prix éviter, ce sont des élections anticipées : ils ont supplié Macron de leur faire quelques concessions pour qu’une configuration gouvernementale puisse tenir le plus longtemps possible, si possible jusqu’en 2027.

  Lire la suite...

Télécharger en pdf Tweeter Facebook