[RSS] Twitter Youtube Page Facebook de la TC Articles traduits en castillan Articles traduits en anglais Articles traduits en allemand Articles traduits en portugais

Agenda militant

Newsletter

Ailleurs sur le Web [RSS]

Lire plus...

Twitter

Un spectre hante Jussieu, le spectre du marxisme !

Par Victor Müller (27 janvier 2017)
Tweeter Facebook

Ce jeudi 26 janvier, une trentaine de personnes se sont retrouvées sur le campus de Jussieu pour une réunion sur le thème « 2017 sera marxiste ou ne sera pas ! », organisée par les comités NPA de Jussieu et de l’ENS. Notre camarade Ludovic Wolfgang a introduit la discussion en présentant quatre aspects majeurs de la pensée de Marx : le matérialisme historique, la théorie du capitalisme, la théorie de l’État et la théorie du Parti.

La discussion elle-même était très riche, et a abordé des questions telles que la fonction du Parti, l’attitude marxiste face à la crise écologique ou encore l’analyse des classes sociales aujourd’hui. Elle a permis de souligner les apports du marxisme pour les anticapitalistes et les révolutionnaires au XXIe siècle, mais aussi ses limites.

Cette réunion marque le renouveau du marxisme révolutionnaire dans l’université de Jussieu, une des plus grandes concentrations de travailleur-e-s et de jeunes en région parisienne puisqu’elle compte plus de 30 000 étudiant-e-s et plus de 10 000 salarié-e-s. À celles et ceux avec qui nous avons lutté contre la loi Travail, qui sont révolté-e-s par le système capitaliste, le patriarcat, le racisme et toutes les oppressions, nous proposons de rejoindre le Nouveau Parti Anticapitaliste pour construire ensemble la perspective de la révolution communiste.

Les organisateurs/trices donnent rendez-vous pour continuer la discussion, et notamment pour analyser, d’un point de vue marxiste révolutionnaire, le programme de Philippe Poutou et des autres candidats à l’élection présidentielle,

            jeudi 9 février à l’université de Jussieu !

Télécharger au format pdf

Ces articles pourraient vous intéresser :

France

Les compromissions de la gauche bourgeoise face à l’impasse des négociation

La nomination de F. Bayrou et la formation de son gouvernement auront rapidement permis de confirmer ce que l’on savait déjà : le front électoral du NFP, formé dans le but tactique d’empêcher la victoire de l’extrême droite aux législatives, ne devait en aucun cas être considéré comme une alliance durable. Le PS et le reste de la gauche libérale ne se sont ralliés au programme du NFP (et avant cela de la NUPES) que dans le but d’obtenir pour eux-mêmes un maximum de sièges à l’Assemblée. Entre LFI et cette gauche, il n’y a ni projet commun ni même stratégie partagée. Ainsi, face au nouveau gouvernement Bayrou, les contradictions internes au NFP éclatent plus violemment que jamais et deux perspectives diamétralement opposées se dégagent de plus en plus nettement.

  Lire la suite...

Télécharger en pdf Tweeter Facebook

International

La chute de Bachar al-Assad, après les succès militaires d’Israël, ouvre la voie à une reconfiguration du Moyen-Orient favorable aux impérialistes occidentaux

La chute surprise et rapide de Bachar al Assad est une victoire différée du soulèvement populaire syrien de 2011, qui s'est poursuivi en partie sous les formes de la guerre civile. Si ce sont des islamistes radicaux qui l'ont emporté militairement, avec le soutien de la Turquie, cela est arrivé avec le soutien massif de la population syrienne, qui voulait avant tout la chute du dictateur sanguinaire. Cela donne une situation contradictoire : le pouvoir est aux mains d'islamistes radicaux sur lesquels on ne peut se faire aucune illusion, d'autant qu'ils essaient de montrer patte blanche aux impérialistes occidentaux, mais le peuple syrien aspire plus que jamais à la démocratie, aux droits humains et sociaux, et n'acceptera certainement pas la mise en place d'un nouveau régime oppressif et réactionnaire.

  Lire la suite...

Télécharger en pdf Tweeter Facebook

France

Le gouvernement Bayrou : dernier avatar de la macronie avant la crise terminale ?

Après la censure du gouvernement Barnier, les palabres à l’Elysée ont repris. Le PS, les Ecologistes et le PCF s’y sont précipités en demandant un « premier ministre de gauche » et à défaut en se disant ouverts à un « accord de non censure ». Les plus allants sur ce terrain ont été les socialistes qui exigeaient un engagement à ne pas recourir au 49-3 et quelques menues inflexions sur la politique suivie. Ce que ces partis de gauche veulent à tout prix éviter, ce sont des élections anticipées : ils ont supplié Macron de leur faire quelques concessions pour qu’une configuration gouvernementale puisse tenir le plus longtemps possible, si possible jusqu’en 2027.

  Lire la suite...

Télécharger en pdf Tweeter Facebook