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Turquie : regain de violences entre kurdes et policiers
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Les heurts ont repris, mercredi 8 octobre, entre militants kurdes et forces de l'ordre, dans le sud-est de la Turquie. A Diyarbakir, considérée comme la capitale du sud-est kurde, la police a utilisé des gaz lacrymogènes et des canons à eau pour disperser plusieurs centaines de manifestants qui leur lançaient des pierres. Des affrontements similaires ont été signalés dans le centre-ville de Van, dans l'est du pays.
Les protestataires dénoncent le refus du gouvernement d'intervenir en Syrie, et plus particulièrement dans la ville frontalière de Kobané (Aïn Al-Arab, en arabe), en partie occupée par des djihadistes de l'Etat islamique. Les manifestations ont viré mardi à l'émeute et fait au moins 21 morts, selon un dernier bilan. « La plupart des victimes sont mortes par balles », selon le ministre de l'agriculture.
A Diyarbakir, la situation restait tendue mais calme à la mi-journée, soldats et blindés patrouillant dans des rues largement vides, selon un correspondant de l'AFP. La compagnie nationale Turkish Airlines a annulé tous ses vols vers la ville kurde jusqu'à nouvel ordre. Des affrontements ont par ailleurs été signalés entre militants kurdes et policiers à Agri et Karliova.
COUVRE-FEU
Cette vague de protestations a amené les autorités à imposer un couvre-feu dans six provinces peuplées en majorité de Kurdes. C'est la première fois depuis 1992 qu'Ankara met en place un tel dispositif. La mesure doit courir jusqu'à jeudi matin dans six provinces du pays peuplées en majorité de Kurdes pour tenter d'yramener le calme.
Le chef emprisonné des rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), Abdullah Ocalan, a prévenu que la chute de Kobané signerait la fin des efforts de paix engagés il y a deux ans pour mettre un terme à un conflit qui a fait quelque 40 000 morts depuis 1984.