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Fin de la grève dans les aéroports
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le ministre des transports, Thierry Mariani, a affirmé, mardi 27 décembre, que l'ensemble des agents de sûreté aéroportuaire avaient repris le travail, au lendemain de la signature d'un accord de sortie de crise par quatre syndicats. "Tous les agents ont repris le travail", a déclaré le ministre sur Europe 1, évoquant simplement quelques difficultés locales à Toulon.
Après onze jours de grève ayant entraîné des annulations de vol à Lyon et des retards notamment à Roissy, et sous la pression du gouvernement qui avait recouru aux forces de l'ordre pour assurer les contrôles, les fédérations FO, CFTC, CFDT et UNSA du secteur ont signé lundi un accord avec le Syndicat des entreprises de sûreté aérienne et aéroportuaire (SESA, patronat).
Celui-ci ne satisfait qu'une partie de leurs revendications salariales et prévoit notamment de porter à un mois de salaire le montant de la prime annuelle des agents, soit 1 000 euros. Les agents réclamaient une hausse de 200 euros brut de leur salaire mensuel (entre 1 100 et 1 600 euros).
La CGT, non signataire, a appelé ses adhérents à reprendre le travail, a déclaré mardi Christine Hamiani, responsable de ce syndicat, indiquant notamment que les agents ont effectivement mis fin à leur grève à Roissy. "Les salariés ont repris le boulot, mais parce qu'ils ne peuvent pas faire autrement", a souligné Mme Hamiani, assurant que "la bagarre sur les salaires va continuer".
Dans un communiqué, le syndicat avait pris acte lundi qu'avec l'accord, "les employeurs de la branche accèdent à une partie des revendications portées par la CGT, notamment en ce qui concerne la reprise à 100 % du personnel en cas de transfert de marché", tout en soulignant que "la question de la reconnaissance des métiers à travers les hausses de salaires rest(ait) posée".