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Fidel Castro répond ironiquement au discours pro-liberté d’Obama
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Métro) DIPLOMATIE - Dans une lettre intitulée "Le frère Obama", l'ex-Lider Maximo affirme que Cuba ne doit pas oublier ses confrontations passées avec les Etats-Unis.
Il était resté silencieux jusque-là malgré ses réticences vis-à-vis du rapprochement américano-cubain. Dans une lettre rendue publique ce lundi 28 mars et intitulée "Le frère Obama", Fidel Castro, qui doit fêter ses 90 ans cette année, a critiqué non sans ironie les déclarations du président américain en visite historique à La Havane les 20, 21 et 22 mars dernier.
Un discours pas vraiment du goût de Fidel Castro
"On était censés courir le risque d'un infarctus en écoutant ces paroles du président américain", écrit ainsi l'ex-Lider Maximo, retiré depuis 2006 dans ce texte publié par plusieurs médias cubains. Mais "que personne ne se fasse d'illusions sur le fait que le peuple de ce pays noble et désintéressé renoncera à la gloire et aux droits, à la richesse spirituelle acquise par le développement de l'éducation, la science et la culture", poursuit-il en prenant la défense de la société qu'il a souhaité bâtir.
En déplacement à Cuba pour marquer le rapprochement spectaculaire entamé fin 2014 entre les deux pays, Barack Obama avait en effet appelé "à enterrer le dernier vestige de la Guerre froide" dans dernier un discours pro-libertés et démocratie. Ce qui n'est pas vraiment du goût de Fidel Castro qui suggère au président américain "qu'il réfléchisse et qu'il n'essaie pas d'élaborer des théories sur la politique cubaine".
Aucune rencontre officielle
"Nous sommes capables de produire des aliments et les richesses matérielles dont nous avons besoin grâce aux efforts et à l'intelligence de notre peuple. Nous n'avons pas besoin que l'empire nous fasse cadeau de quoi que ce soit", a encore déroulé le père de la révolution cubaine, sur un ton sec et sarcastique.
Selon la Maison Blanche, il n'a jamais été question d'une rencontre entre Fidel Castro et Barack Obama lors de la préparation de sa visite historique, même si le président américain s'était déclaré prêt à le rencontrer lors d'un entretien accordé à la chaine ABC. L'ex-leader cubain n'est en revanche plus apparu en public depuis juillet 2015, mais les médias officiels publient régulièrement des photos de lui recevant à son domicile personnalités et chefs d'Etat amis.