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Dans cette entreprise de jeux vidéo, les employés gagnent le même salaire
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Parisien) La petite entreprise bordelaise au mode de fonctionnement atypique a su se faire un nom dans un univers très concurrentiel.
Imaginez une entreprise sans patron, où tous les employés gagnent le même salaire... Motion Twin l'a fait ! C'est peut-être ce qui a favorisé le succès de cette société coopérative, conceptrice de jeux vidéo, créée en 2001, à Bordeaux (Gironde).
« Chez nous, l'égalité est primordiale. On travaille tous autant les uns que les autres, on a tous notre mot à dire. Cela présente des avantages, même si, du coup, notre travail nous prend énormément de temps », reconnaîtSébastien Bénard, l'un des huit salariés.
En quinze ans, cette société a construit sa renommée grâce à ses jeux de combat en ligne comme labrute.com ou d'aventure en réseau tels queHordes.fr. « Au début, nous nous sommes spécialisés dans le freetoplay, les jeux gratuits sur Internet. Nous étions d'ailleurs des précurseurs dans ce domaine. Mais ce secteur a décliné avec l'arrivée des jeux sur mobile. Aujourd'hui, nous créons surtout des produits pour PC et Mac », détaille l'employé.
Une centaine de jeux produits en quinze ans
En quinze ans, la société a sorti une centaine de jeux de toutes tailles, dont une vingtaine plus importants. « Un projet peut nous prendre de six mois à quatre ans », calcule Sébastien Bénard, qui est à la fois développeur, graphiste et même game designer (scénariste).
« Dans une petite entreprise comme la nôtre, l'éventail des tâches est beaucoup plus large que dans les grands groupes », explique-t-il.
En 2014, Motion Twin a affiché un chiffre d'affaires de 1,3M €. Une réussite qui suscite la convoitise de ses concurrents. « On a déjà tenté de nous racheter deux fois, mais nous avons décliné les offres, raconte le salarié, sans révéler leurs montants ou les noms de leurs prétendants. Nous préférons garder notre autonomie ».