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Soyons rassurés : le FMI a du coeur
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le Fonds monétaire international s'est dit jeudi "profondément attristé" par le suicide d'un retraité la veille en pleine rue à Athènes, qui a suscité un fort émoi en Grèce.
"Ce que j'aimerais faire, c'est dire que nous sommes profondément attristés d'apprendre quelque décès que ce soit dans ces circonstances. Et tout simplement exprimer notre sympathie", a déclaré un porte-parole du FMI, Gerry Rice, lors d'un point de presse à Washington.
Il était interrogé sur le suicide, à quelques mètres du parlement grec, d'un homme de 77 ans qui dans une note a accusé le gouvernement de l'avoir privé des ressources dont il avait besoin pour vivre.
Cet événement tragique est survenu sur la place Syntagma, théâtre depuis deux ans des manifestations contre l'austérité draconienne imposée au pays, qui visent entre autres le FMI.
M. Rice s'est abstenu de tout autre commentaire.
Interrogé sur l'incertitude provoquée par la percée des partis politiques contestataires avant les élections législatives anticipées de mai, il a estimé qu'il fallait voir ces élections comme une chance pour le pays.
"Les élections créent effectivement une incertitude pour la mise en oeuvre des politiques publiques. Mais j'ajouterai que ce type d'incertitude est toujours présente quand un pays organise des élections, donc que ce n'est pas spécifique à la Grèce", a-t-il dit.
"Nous sommes rassurés par les engagements pris par les grands partis politiques en Grèce vis-à-vis des objectifs et des politiques du programme. [...] D'une certaine façon, les élections sont une occasion importante pour obtenir un mandat en vue de cela", a-t-il ajouté.
Le FMI a accordé à la Grèce en mars un nouveau prêt de 28 milliards d'euros, succédant à celui de 30 milliards d'euros de mai 2010, dont deux tiers avaient été versés à Athènes.