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Cette nuit en Asie : en Corée du Nord, une purge fait 1.000 morts
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Selon le Centre de la stratégie sur la Corée du Nord, « 415 cadres du Parti du travail, 300 cadres des institutions rattachées et 200 responsables du ministère de la Sécurité nationale ont été fusillés en public ».
Après avoir recueilli pendant des mois les témoignages d'anciens cadres du pouvoir nord-coréen ayant fuit en Corée du Sud, le Centre de la stratégie sur la Corée du Nord (NKSC) affirme que la première grande purge initiée, fin 2013, par Kim Jong-un, le jeune dictateur du régime, a fait au moins 1.000 morts. Selon Kang Cheol-hwan, le directeur du NKSC interviewé par l'agence Yonhap, « 415 cadres du Parti du travail, 300 cadres des institutions rattachées et 200 responsables du ministère de la Sécurité nationale ont été fusillés en public » dans le cadre de cette campagne de nettoyage politique.
En décembre 2013, deux ans seulement après son accession au pouvoir suite au décès de son père Kim Jong-il fin 2011, le nouveau dirigeant avait fait arrêter et condamner son oncle Jang Song-thaek, alors numéro deux du régime, sur des accusations de sectarisme et d'actes anti-révolutionnaires. Pour consolider son pouvoir et mater les responsables susceptibles de contester sa légitimité à la tête de l'état paléo-staliniste, il aurait, en plus des exécutions, purger 20.000 personnes soupçonnées d'être liées à son oncle. « Certains d'entre eux ont été enfermés dans des camps de prisonniers politiques », affirme le responsable du NKSC.
Kang Cheol-hwan qui a récemment recueilli les témoignages de six hauts placés ayant fait défection en Corée du Sud, indique que son organisation compte demander le lancement d'enquêtes sur cette affaire à la Cour pénale internationale (CPI) et qu'il déposera les éléments accumulés lors de ses recherches. S'il note que le nombre exact de morts est difficile à quantifier par les transfuges, il assure que tous ont fait état d'exécutions de masse en public et de nombreux transferts dans des camps de prisonniers politiques.