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Vers une taxe exceptionnelle sur les plus riches en Espagne ?
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Vers une taxe exceptionnelle sur les plus riches en Espagne ? - Capital.fr
Face à l'inflation, Madrid veut durcir temporairement l'impositions des plus riches. Le gouvernement envisage la mise en place d'un impôt "exceptionnel" pour une période de deux ans.
Le gouvernement espagnol veut instaurer un impôt temporaire et exceptionnel pour les 1 % les plus riches de la population, afin de financer les mesures mises en place pour atténuer l'impact de l'envolée de l'inflation, a annoncé jeudi 22 septembre la ministre du Budget. Il est important que "nous puissions financer les aides" mise en place pour soutenir "la classe moyenne et les travailleurs", qui sont "ceux qui proportionnellement contribuent le plus au financement des services publics", a déclaré María Jesús Montero sur la chaîne de télévision La Sexta.
Pour cette raison, le gouvernement "travaille" à la mise en place d'un impôt "exceptionnel", sur le modèle de celui annoncé pour les grands groupes énergétiques et bancaires du pays, afin d'accroître "l'apport" des "grandes fortunes" au budget, a-t-elle poursuivi. Selon Mme Montero, cet impôt devrait entrer en vigueur l'an prochain pour une période de "deux ans" et concerner "une population qui ne dépasse pas les 1% de citoyens" les plus riches.
Les millionnaires ciblés
"Quand on parle de personnes riches, on parle de personnes millionnaires", a-t-elle insisté. En revanche, la ministre n'a pas précisé quelle forme prendrait cet impôt exceptionnel, ni le montant des recettes attendues par l'exécutif. Cette annonce survient en pleine bataille fiscale entre le gouvernement du Premier ministre socialiste Pedro Sánchez et le Parti populaire (PP, droite conservatrice), principale formation d'opposition, qui a annoncé des baisses d'impôts dans plusieurs régions qu'il préside, notamment l'Andalousie.
Ces gestes fiscaux -ciblés sur l'impôt sur le revenu, mais aussi, dans le cas de l'Andalousie, sur l'impôt sur la fortune- sont critiqués par la gauche, qui dénonce une politique de "dumping fiscal" rompant l'équilibre entre les territoires, à un moment où l'Espagne fait face à de nombreuses dépenses. Confrontée à une inflation galopante (10,4 % en août), l'Espagne a multiplié ces derniers mois les mesures pour soutenir le pouvoir d'achat des ménages, comme les subventions sur les carburants, la prise en charge d'une partie des abonnements de transport public, et la hausse des retraites. Le montant total de ces différents plans d'aide a été évalué à près de 30 milliards d'euros par M. Sánchez, soit l'équivalent de 2,3 % du produit intérieur brut (PIB) du pays.