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Egypte: condamnations à mort confirmées à Port-Saïd
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Ces verdicts risquent de provoquer de nouvelles violences, le premier jugement en janvier, qui concernait principalement des supporteurs du club de football de Port-Saïd, ayant déjà provoqué des heurts meurtriers entre la population et la police dans cette ville située sur le canal de Suez.
Le juge du tribunal a en effet confirmé les peines capitales prononcées en janvier dernier contre 21 autres personnes jugées dans cette affaire, qui concerne au total 73 inculpés.
Parmi les 52 autres personnes jugées en première instance samedi, cinq ont été condamnées à la perpétuité et dix à 15 ans de prison. Neuf ont été écopé de peines allant de un à 10 ans de prison et 28 ont été acquittées.
En février 2012, des violences avaient fait 74 morts à l’issue d’un match à Port-Saïd entre l’équipe de football locale al-Masry et une équipe du Caire, al-Ahly.
Ce drame, le plus meurtrier du football égyptien, s’était produit après la victoire d’Al-Masry dont des centaines de supporteurs avaient envahi le terrain et lancé des projectiles vers ceux d’Al-Ahly.
Sur les neuf policiers qui faisaient partie des accusés, deux ont été condamnés à 15 ans de prison: l’ancien chef de la sécurité à Port-Saïd, le général Mohammed Samak, et le général de brigade Mohamed Saad qui avait à l’époque des faits les clés des portes du stade, qui étaient fermées. Les sept autres policiers jugés ont été acquittés.
Après le verdict de janvier, les manifestants avaient attaqué les bâtiments des forces de sécurité à Port-Saïd et des heurts avec la police avaient fait plus de 40 morts, poussant M. Morsi à déployer l’armée pour soutenir la police.
La police s’est ensuite largement retirée, et l’armée a repris en main une bonne partie de ses tâches dans la ville.
Les manifestations violentes ont repris le 3 mars à Port-Saïd après l’annonce du transfert hors de la ville de 39 accusés, dont neuf policiers et trois cadres du club d’Al-Masry.
L’Egypte connaît une transition politique chaotique émaillée de violences, deux ans après la chute de Hosni Moubarak et près de neuf mois après l’élection de l’islamiste Mohamed Morsi, fortement contesté par une partie de la population.
Le chef de la police anti-émeute en Egypte a été limogé vendredi après une grève sans précédent dans les rangs des policiers, nombreux dénonçant leur manque d’équipement et estimant faire les frais de conflits politiques.