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Paris s'apprêterait à vendre des frégates à Athènes
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Les relations franco-allemandes vont-elles connaître une nouvelle période de tensions, à l'approche du sommet européen du 23 octobre ? Selon le Spiegel, la France veut vendre à la Grèce des frégates et proposerait au pays surendetté un tarif préférentiel et un délai de paiement.
Il s'agit de deux à quatre frégates furtives du groupe d'armement naval DCNS qui seraient vendues avec une remise de 100 millions d'euros si Athènes décide de les garder au bout de cinq ans. Dans le cas contraire, la Grèce devrait les rendre à la marine française.
Les concurrents allemands du constructeur français, qui ont tenté pendant des années de remporter ce contrat, critiquent cet accord. Dans un courrier au gouvernement allemand, un dirigeant du groupe ThyssenKrupp déplore que l'achat des frégates soit en partie financé par les contribuables allemands, car, selon lui, la Grèce, dépendante de l'aide du FMI et de l'UE, pourrait devoir restructurer sa dette.
Un abandon de certaines créances grecques semble de plus en plus probable. Si cela intervient et que la Grèce est sauvée par des fonds de secours européens, le scénario de Thyssen se réaliserait. Les contribuables allemands garantiraient une part des dépenses du gouvernement grec et, ainsi, paieraient pour une partie de l'achat des frégates.
"Pendant que les chantiers navals allemands n'ont pas de commandes, DCNS et les chantiers grecs sont subventionnés et maintenus en vie, probablement avec de l'argent allemand", soutient le dirigeant de ThyssenKrupp.
Un député allemand demande à la chancelière Angela Merkel de convaincre Nicolas Sarkozy d'abandonner ce contrat avec la Grèce, lors du prochain sommet européen.
Selon un document interne de Thyssen, le contrat pourrait aussi violer les règles européennes sur les subventions et les achats publics. Thyssen a refusé de faire un commentaire sur le sujet.