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Sondage : l’Essonne, fief de Valls, pourrait basculer à droite
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Manuel Valls met tout son poids dans la balance : le Premier ministre est attendu en meeting à Evry le 16 mars pour tenter de sauver son fief. Car, selon notre sondage Odoxa, il y a danger. Allié à l'UDI, l'UMP mené par l'ancien député Georges Tron virerait en tête du premier tour avec 25 % des intentions de vote contre 22 % pour le PS, talonné par les 20 % du Front national.
Les candidats du Front de gauche ou du PC atteignant, eux, un score élevé de 16 %. Certes, le niveau atteint par le PS en Essonne est plus élevé que sur le plan national. Du coup, l'écart avec l'UMP d'un côté et le FN de l'autre est moins important qu'ailleurs. Ce qui laisse de l'espoir à Jérôme Guedj, le patron sortant du département.
En revanche, le total des intentions pour la gauche (PS plus ses rivaux à gauche) fond comme neige au soleil : 38 %, soit 12 points de moins qu'aux cantonales de 2011. Il y a néanmoins un facteur d'incertitude, 27 % des personnes interrogées ne se prononçant pas. Selon le politologue Gaël Sliman, le président d'Odoxa, il faudra donc « un exploit, voire un miracle » pour que l'Essonne reste à gauche. D'autant qu'il faut compter avec les effets de la désunion dans un département où communistes et amis de Jean-Luc Mélenchon (ancien élu PS de l'Essonne) pourraient profiter de ce scrutin local pour punir « Valls, le social-libéral ». Car plus le nombre de candidats de gauche est élevé au premier tour, plus le risque de dispersion des voix est grand dans les cantons. Dans un contexte de forte abstention, le PS pourrait même, dans certains cas, ne pas atteindre la barre des 12,5 % d'électeurs inscrits nécessaires pour se maintenir au second tour. Et subir ainsi une élimination dès le 22 mars. Un cas de figure qui concerne d'ailleurs nombre de départements.