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9.000 euros d’habits de luxe, l’ardoise laissée par Dati à la Justice
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Selon Le Point, la Cour des Comptes a invalidé la facture laissée par l'ex-garde des Sceaux entre 2007 et 2008. Ce sera à l'ancien comptable de la Chancellerie de la régler.
Après ses 5.500 euros d'arriérés de cotisations non payées à l'UMP, Rachida Dati est épinglée pour des factures de vêtements de luxe non réglées, alors qu'elle était encore garde des Sceaux. Selon "Le Point", la Cour des Comptes s'est en effet penchée sur le budget de la Chancellerie entre 2007 et 2008 et a trouvé des "bordereaux de vêtements de luxe qui n'avaient rien à faire là".
Une addition salée de 8.985.87 euros, financée à l'époque sur l'enveloppe du ministère consacrée aux "événements, fêtes et autres garden-parties". Rachida Dati assure au "Point" qu'elle n'en a pas fait usage personnellement mais qu'il s'agissait de "cadeaux à des personnalités, rien d'autre".
190.000 euros de factures invalidées
La Cour des Comptes a toutefois décidé d'invalider ces dépenses. Au total, en incluant ces frais vestimentaires, ce sont près de 190.000 euros de factures de l'ère Dati qui ont été invalidées. Charge, maintenant, à l'ancien comptable du ministère de la Justice de payer car l'administration est considérée comme responsable. Rachida Dati, elle, ne sera pas poursuivie.
En novembre dernier, le maire UMP du XVIe arrondissement Claude Goasguen, avait dénoncé « le cas Dati ». La maire du VIIIème arrondissement n'ayant pas payé ses cotisations au groupe UMP depuis 2010 en risquait alors l'exclusion.
Les goûts de luxe et les revenus confortables de Rachida Dati irritent. Selon sa déclaration d'intérêts disponible sur le site de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP), elle aurait encaissé au titre de son activité d'avocate des honoraires de 625.000 euros en 2010, 539.000 euros en 2011, 704.000 euros en 2012 et 205.000 euros en 2013