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L’étrange univers des sanatoriums d’ex-URSS
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
De la Biélorussie au Kirghizistan, les sanatoriums hérités de l’Union soviétique continuent d’accueillir les vacanciers en quête de repos. Leur atmosphère unique est restituée dans le livre « Holidays in Soviet Sanatoriums » de Maryam Omidi, aux éditions FUEL. Le droit à la santé mais aussi un univers de palace offert à la classe ouvrière (faire le parallèle avec d’autres réalisations collectives comme le métro) fait partie des conquêtes de la révolution d’octobre qui ne se limite pas à des jeux de pouvoir mais créé partout y compris en occident une situation favorable aux conquêtes ouvrières (note de Danielle Bleitrach).
C’est l’heure des lampes à ultraviolets dans le sanatorium d’Aurora, au Kirghizistan – un procédé destiné à tuer les bactéries présentes dans le nez, les oreilles ou la gorge. Créés par l’URSS afin de d’offrir des vacances saines à ses travailleurs, les sanatoriums qui sont encore en activité continuent d’attirer des clients désireux de se régénérer au spa, à des prix souvent modiques. (Egor Rogalev)
Illustration de la créativité architecturale soviétique, le sanatorium Druzhba, construit en 1985 en Crimée, déploie ses imposants cylindres de béton aux bords de la mer Noire. (Michal Solarski)
De nombreux sanatoriums ont dû mettre la clé sous la porte après la chute de l’URSS. Ceux qui ont survécu tentent aujourd’hui de diversifier les activités proposées. Ici, une patiente en cure d’oxygénothérapie entre dans un caisson hyperbare, à Sotchi. (Dmitry Loukianov)
Bain au sanatorium Tskaltubo, en Géorgie. Comme le relatait « L’Express » dans un article consacré à ces établissements, les règles collectives peuvent demeurer très strictes, ne laissant par le choix des horaires de soins, ni le luxe de choisir sa place à la cantine… (Claudine Doury)
Luminothérapie au sanatorium de Naftalan, en Azerbaïdjan. (Claudine Doury)
Naftalan est également réputée pour… ses bains de pétrole. (Claudine Doury)
Séance de ventouses au sanatorium de Kepez, en Azerbaïdjan. (Claudine Doury)
Souvent situés au cœur de la nature, les sanatoriums peuvent aussi proposer des lieux insolites. Comme cette mine de sel propice à la gymnastique, en Biélorussie. (Egor Rogalev)
Bain d’eau minérale pour ces deux pensionnaires de l’établissement Belarus à Sotchi, dans le sud de la Russie. (Dmitry Loukianov)
Comme l’explique l’auteure du livre, Maryam Omidi, l’URSS voyait jadis dans ses sanatoriums une manière de s’opposer aux vacances « décadentes » de l’Occident. C’était aussi l’occasion de régénérer les forces de l’ouvrier en vue de son retour à l’usine. Photo : Klyazma, Russie. (Natalia Kupriyanova)