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L’Egypte interdit la vente de gilets jaunes par peur des contestations
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Des manifestants au Puy-en-Velay le 8 décembre. - Thierry Zoccolan AFP
Les autorités égyptiennes craignent que les opposants au régime s'inspirent des protestations des gilets jaunes en France et ont décidé d'interdire la vente de ces vestes fluorescentes jusqu'à la fin du mois de janvier.
L'Egypte craint que la vague de contestations des gilets jaunes traverse la Méditerranée alors que le septième anniversaire du soulèvement populaire qui a renversé Hosni Moubarak approche. Pour endiguer toute velléité de protestation, inspirée des Français, le pays a discrètement interdit la vente des gilets jaunes. Ainsi, les revendeurs d'équipement de sécurité routière ont reçu pour consigne de ne pas vendre de gilets jaunes aux acheteurs occasionnels. Ils doivent également limiter leurs livraisons chez les grossistes, sous réserve d'avoir au préalable obtenu une autorisation de la police.
Eviter la contagion française
Six commerçants cairotes se sont d'ores et déjà soumis à cette mesure restrictive, rapporte Associated Press. Deux d'entre eux ont confié à l'agence de presse que "la police [était] venue il y a quelques jours pour nous dire d'arrêter de les vendre. Quand on a demandé pourquoi, ils ont répondu qu'ils agissaient sur instruction".
"Ils ne veulent pas que ce qui se passe en France se produise en Egypte", a poursuivi un vendeur.
Cette interdiction devrait perdurer jusqu'à la fin du mois de janvier, après la date de célébration du soulèvement populaire, ont précisé des représentants des services de sécurité gouvernementaux.
Ces deux dernières années, les autorités égyptiennes ont réprimé - parfois violemment - les manifestations destinées à célébrer le 25 janvier, qui marque la date du début de la révolution de 2011.
Ambre Lepoivre