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    Nous accusons !

    Gilets-jaunes Répression

    Lien publiée le 4 mai 2019

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    Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

    https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/040519/nous-accusons-0

    Face à la dérive autoritaire du gouvernement, un très large collectif d'universitaires et de membres de la société civile s'insurge contre la «criminalisation» de toute personne s'opposant «à ses lois et à ses politiques funestes» et contre une «violence d'État» servie par l'usage d'armes de guerre. Ils appellent l’ensemble des citoyens «à se joindre au mouvement social».

    Depuis le 17 novembre 2018, plusieurs centaines de milliers de citoyen·ne·s expriment leur inquiétude face à un pouvoir sourd à leurs revendications. Ils trouvent la force et le courage de prendre la parole en disant haut et clair qu’ils en ont assez et ne subiront plus les effets des politiques néfastes qui depuis plusieurs décennies pillent impunément leur travail et les biens communs.

    Les voix des gilets jaunes ont permis de mettre à nu les mensonges et les pseudo-justifications « scientifiques » données par le pouvoir et la meute de ses courtisans pour couvrir l’ampleur et l’importance de la prédation. Leur soulèvement a montré le vrai sens d’une politique qui a sciemment organisé le transfert des biens laborieusement accumulés par 95 % de la population vers les 5 % des couches les plus aisées. Leur force a été de faire prendre conscience de la duplicité d’un pouvoir, osant se féliciter d’avoir multiplié par quatre les énormes richesses détenues par une infime minorité. Avec la grande majorité des Français.es, nous nous sommes reconnu.e.s dans la prise de conscience des gilets jaunes. Chacun.e de nous a pu constater que, dans tous les secteurs de la société, nous étions confronté.e.s aux effets des mêmes politiques qui tendent à aggraver constamment les inégalités sociales.

    D’emblée, les demandes et les attentes de changement nées avec ce soulèvement populaire ont été clairement développées. Elles se sont aussitôt heurtées à un pouvoir qui n’a cessé d’en ignorer le contenu pour en affadir la portée déstabilisante. Ce fut d’abord le silence assourdissant d’un président et de sa cour, murés dans leur palais. Ce fut ensuite la tentative de duper la foule avec les fausses promesses et les petites aumônes concédées en faisant encore payer les moins aisés et les services publics. Ce fut aussi la mise en place d’un simulacre de consultation d'où l'on avait avait très savamment extirpé toute possibilité d’interaction et de débat. Ce fut, surtout, la décision claire et réfléchie d’empêcher par tous les moyens l’expression publique des demandes et des revendications.

    Tout a été fait pour réduire au silence les manifestants. Dès les premiers actes, le pouvoir a choisi la violence en demandant aux forces de l’ordre de dégager les péages d’autoroutes, les ronds-points, de bloquer l’accès aux points de convergence des manifestations et, surtout, d’intervenir avec « fermeté ». Nous avons tou.te.s vu la traduction de ces ordres sur le terrain : nous avons constaté de nos yeux les filtrages et les arrestations arbitraires aux entrées des villes, empêchant les manifestations de se dérouler et la parole de s’exprimer. Nous avons vu les cabanes des ronds-points détruites et toujours courageusement reconstruites. Les techniques d’intervention policière consciemment choisies (nassage, lancement de gaz lacrymogène dès le début des manifestations, tirs de LBD sans sommation) provoquaient elles-mêmes les rares actes de violence en cherchant délibérément l’affrontement avec les manifestants.

    Semaine après semaine, cette technique meurtrière et liberticide a été appliquée avec une intensité croissante. Protégées par le pouvoir et couvertes par l’omerta d’une grande partie des médias, des troupes policières épuisées par le travail se laissent aller aux pires exactions. Des centaines d’hommes et de femmes manifestant pacifiquement ont été attaqué.e.s sans aucune raison et très souvent avec un acharnement insensé. Depuis le mois de décembre, le nombre des blessés graves augmente sans cesse : les personnes ayant subi de graves traumatismes se comptent par centaines. Aucune parole n’a été prononcée par le président de la République ou son gouvernement à l‘égard des victimes, et en particulier de Zineb Redouane, tuée après avoir été atteinte alors même qu’elle fermait sa fenêtre. Rien ne semble plus pouvoir arrêter cette dramatique escalade et nous avons honte de devoir assister à la mise en scène des autofélicitations du pouvoir censé contenir une « foule haineuse ».

    Le choix de la répression violente contre toutes celles et ceux qui osent se lever pour prendre la parole contre ces agissements n’est certes pas nouveau, il a notamment été mis en pratique dans les quartiers populaires et contre des groupes vulnérables comme les migrant.e.s et les roms ou encore contre les mouvements sociaux, mais depuis novembre 2018 un seuil a été franchi. Cette stratégie de la répression violente a trouvé son apogée lors de la manifestation du 1er mai 2019 : non seulement on a assisté au déploiement de tout l’éventail de l’arsenal répressif de l’État, mais le gouvernement s’est rendu coupable une fois de plus de mensonge avéré en criant au scandale d’une supposée « attaque » de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière par des manifestant.e.s venu.e.s trouver refuge. Ce mensonge d’État est le mensonge de trop. Il révèle l’état de fébrilité et de panique d’un pouvoir aux abois.

    Il faut que s’arrête cette violence d’État !

    Nous accusons le ministère de l’Intérieur de provoquer sciemment les réactions de violence dans nos villes, sur les ronds-points et les lieux de discussions publiques, afin de criminaliser toute personne qui s'oppose à ses lois et à ses politiques funestes.

    Nous accusons le gouvernement d’employer contre des civils des armes de guerre bannies dans l’ensemble des pays occidentaux en ignorant les mises en garde répétées de plusieurs organismes internationaux.

    Nous accusons la hiérarchie de la magistrature d’avoir accepté de couvrir cette politique néfaste en appliquant aveuglément et servilement les ordres donnés par le pouvoir exécutif.

    Nous accusons l’Inspection Générale de la Police Nationale d’avoir diligenté des enquêtes de façade et qui, à notre connaissance, n’ont débouché sur l'interpellation d’aucun membre des forces de « maintien de l’ordre ».

    Nous accusons celles et ceux de la presse et des médias télévisuels qui ont accepté de se transformer en porte-voix du ministère de l’Intérieur et de la préfecture sans accomplir aucun contrôle sur leurs sources.

    Nous appelons l’ensemble des citoyens à se joindre au mouvement social pour dénoncer la dérive autoritaire du gouvernement et nous exigeons la démission de M. Castaner ainsi que l’ouverture d’une commission d’enquête indépendante afin de faire la lumière sur les dérives des vrais responsables de sorte qu’ils soient traduits en justice.

    Signataires :

    Mokhtari Abdenour, chercheur en Sociologie

    Marc Abélès, anthropologue, EHESS

    Nicole Abravanel, historienne, université de Picardie

    Maira Abreu, doctorante en sociologie, Université de Paris 8 Sadia Agsous, Centre de recherche français à Jérusalem Karen Akoka, Université Paris-Nanterre

    Thomas Alam, politiste, université de Lille

    Arié Alimi, avocat au barreau de paris

    Manali Allen, littérature française, Université de Rutgers Paul Alliès, politiste, université de Montpellier

    Horacio Amigorena, psychanalyste, ancien professeur Jean-Loup Amselle, anthropologue, EHESS

    Frédéric Audard, Géographe, Université d’Aix-Marseille

    Marie Auffray-Seguette, sociologue, Institut Catholique de Paris

    Saliou Ba, étudiant en Master Intervention et développement social

    Magali Ballatore, MCF, AMU

    Marie Baltazar, anthropologue, jeune docteure EHESS

    Ludivine Bantigny, historienne, université de Rouen

    Jérémie Barthas, historien, CNRS, Paris

    Jean-Marc Baud, doctorant à l’ENS de Lyon

    Hélène Baye, enseignante en collège, Seine-Maritime

    Hugues Bazin, chercheur en sciences sociales

    Sylvain Beck, sociologue et éducateur spécialisé, Paris

    Yazid Ben Hounet, anthropologue, CNRS, Laboratoire d’Anthropologie Sociale Sami Ben Jaffel, entrepreneur, Montpellier

    Henri Bensidhoum, boulanger

    Christophe Benzitoun, linguiste, Université de Lorraine

    Alain Bertho, Anthropologue, Université de Paris 8

    Stéphane Bikialo, linguiste et littéraire, université de Poitiers

    Soline Blanchard, sociologue, Université de Lausanne

    Cécile Blatrix, politiste, AgroParisTech

    Françoise Bloch, socio-anthropologue, CNRS

    Alexis Blouet, juriste

    Philippe Bobichon, historien, CNRS

    Yann Boniface, Informatique, Université de Lorraine

    Pascal Bonnard, politiste, Université Jean Monnet Saint-Etienne 

    Stéphane André, enseignant-chercheur Sciences Ingénieur, Université de Lorraine 

    Armelle Andro, enseignante-chercheuse démographe, Paris 1 

    Pascal Anger, Enseignant, Université d’Angers 

    Fabien Archambault, historien, université de Limoges 

    Christophe Bonneuil, historien, Cnrs 

    Véronique Bontemps, anthropologue, CNRS, Paris 

    Yannick Bosc, historien, Université de Rouen 

    Paul Bouffartigue, sociologue, CNRS, Aix-en-Provence 

    Ali Boulayoune, sociologue université de Lorraine

    Philippe Boursier, professeur de sciences économiques et sociales, Rennes

    Driss Boussaoud, neuroscientifique au CNRS, Marseille

    Théo Boyadjian, enseignant, lycée Aulnay-sous-Bois

    Françoise Brunel, MCF honoraire, Paris 1

    Monique Buresi, documentaliste, Musée du Louvre

    Pascal Buresi, historien, CNRS-EHESS, Lyon

    Joel Cabalion, sociologue, Université de Tours

    Joseph Cacciari, Université Paris-Est Marne-la-Vallée

    Claude Calame, historien, EHESS, Paris

    Adrian Calmettes, doctorant en économie, université Nice Sophia Antipolis

    Romain Carnac, politiste, université de Lausanne

    Vanessa Caru, historienne, CNRS

    Thérèse Casadamont-B., retraité de l'Éducation nationale, Montpellier

    Nicolas Castel, Sociologue, Université de Lorraine

    Jean-Noël Castorio, historien, Université du Havre

    Antoine Chambert-Loir, mathématicien, Université Paris-Diderot

    Arnaud Chabrol, éditeur

    Vincent Charbonnier, université de Nantes-ÉSPÉ

    Laurence Charlier, anthropologue, MCF, Université Jean Jaurès Toulouse

    Bernard Charlot, Université Paris 8 et UFS de Sergipe, Brésil.

    Lucie Chartier

    Francis Chateauraynaud, sociologue, EHESS, Paris

    Séverine Chauvel, sociologue, Université de Paris-Est-Créteil

    Sébastien Chauvin, sociologue, Université de Lausanne

    Delphine Chedaleux, enseignante-chercheuse en infocom, Université de Lausanne Luc Chelly

    Stéphanie Chevrier, éditrice

    Marie-Pierre Chopin, sciences de l'éducation, Université de Bordeaux

    Sylvie Chiousse, socio-anthropologue

    Cristina Ciucu, philosophe, EHESS

    Yves Cohen, historien, EHESS

    Sonia Combe, historienne, Centre Marc Bloch

    Fanny Cosandey, Historienne, EHESS, Paris

    Enzo Cormann, dramaturge, MCF ENSATT, Lyon

    Claire Cossée, sociologue, UPEC

    Annie Couëdel, sciences de l’éducation Paris 8

    Pierre Cours-Salies, sociologue, Paris 8

    Pascal Cristofoli, ingénieur de recherche, EHESS, Paris

    Marie Cuillerai, Paris Diderot

    Alexis Cukier, philosophe, université de Poitiers

    Mariannick Dagois, Université Paris8 

    Leyla Dakhli, historienne, CNRS, Paris

    Jocelyne Dakhlia, Historienne, EHESS, Paris

    Aurélie Damamme, sociologue, Université de Paris 8

    Jean-Marie Darbon, directeur de recherche INSERM retraité, Toulouse

    Fanny Darbus, sociologue, université de Nantes

    Clara Da Silva, enseignante de philosophie, Lycée Lavoisier, Paris 5ème

    Anne Dauphiné, juriste à la recherche d’un emploi

    Corinne Davault, sociologue, université de Paris 8

    Etienne De Clara, Biologiste, Université de Columbia

    Laurence De Cock, historienne, Paris

    Joan Deas, doctorante en science politique, Sciences Po Grenoble

    Alice Debauche, sociologue, Université de Strasbourg

    Adrien de Jarmy, doctorant en histoire des débuts de l’islam, Sorbonne Université

    Christian Delacroix, historien

    Christian Delarue, animateur du site amitie-entre-les-peuples.org

    Frédéric Delarue, docteur en histoire contemporaine

    Fabien Desage, science politique, Université de Lille

    Claire Desmitt, doctorante en Sciences de l’éducation, Université de Lille.

    Sophie Desrosiers, historienne et anthropologue, EHESS

    Victoire Diethelm, doctorante en Lettres Modernes, Université de Bourgogne Franche Comté Nicolas Dot-Pouillard, Chercheur en sciences politiques, Beyrouth

    Etienne Douat, sociologue, Université de Poitiers

    Yann Dourdet, Professeur de Philosophie.

    Marnix Dressen-Vagne, sociologue UVSQ UMR Printemps

    Jeanne Drouet, ingénieure CNRS Lyon

    Bruno Drweski, historien, politologue. INALCO, Paris

    Vincent Dubois, Université de Strasbourg

    Jeanne Dulyse Pasquet, enseignante spécialisée

    François Dumasy, historien.

    Lucie Dupré, anthropologue, INRA

    Jean-Baptiste Durand, chercheur CNRS, Toulouse

    Julien Durand, post-doc INSA, Toulouse

    Henri Eckert, sociologue, Université de Poitiers

    Nicole Edelman, historienne

    Suzanne El Farra, écrivaine, professeur

    Philippe Enclos, juriste, université de Lille

    Didier Epsztajn, animateur du blog “entre les lignes entre les mots”

    Nathalie Ethuin, science politique, université de Lille

    Corine Eyraud, sociologue, Université Aix-Marseille

    Jules Falquet, féministe, sociologue, Université de Paris

    Patrick Farbiaz

    Héloïse Faucherre-Buresi, fonctionnaire stagiaire, ENS de Lyon

    Jean-Michel Faure, Pr émérite sociologie, université de Nantes

    Benjamin Ferron, sociologue, UPEC

    Agnès Fine, anthropologue, EHESS

    Marianne Fischman, sciences économiques et sociales, Académie de Paris 

    Anders Fjeld, philosophe, Université Paris Diderot

    Mathieu Flinois, Doctorant en sociologie, Université de Provence

    Jean-Philippe Foegle, Juriste, Université Paris Nanterre

    Jean-Michel Fourniau, sociologue, IFSTTAR

    Lydéric France, Enseignant-Chercheur, Géosciences, Université de Lorraine Bernard Friot, sociologue, Université Paris Nanterre

    Laurent Gabail, anthropologue, Université Toulouse Jean Jaurès

    Jérôme Gaillaguet, sociologue, EHESS, Paris

    Claire Gallien, MCF études anglophones, UPVM3, Montpellier

    Juliette Galonnier, sociologue, Ined

    Edith Galy, PU en ergonomie, Université Nice Sophia-Antipolis

    Camille Gardesse, sociologue urbaniste, Université Paris Est

    Médéric Gasquet-Cyrus, sociolinguiste, Université d’Aix-Marseille

    Pascal Gassiot , Fondation copernic, Toulouse

    Vincent Geisser, chercheur CNRS, président CIEMI

    Frédérick Genevée, historien, responsable de musée

    Julie Gervais, politiste, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

    Mehdi Ghouirgate, Historien, Université Bordeaux-Montaigne.

    Laurence Giavarini, enseignante-chercheuse, Lettres, Université de Bourgogne Pascale Gillot, philosophe, université de Tours.

    Tommaso Giuriati, doctorant en sociologie, Université de Corse

    Boris Gobille, politiste, Ecole Normale Supérieure de Lyon

    Josua Gräbener, politiste, Bruxelles

    Maurizio Gribaudi, historien, EHESS, Paris

    Pascal Guibert, enseignant-chercheur, Université de Nantes

    Michelle Guerci, journaliste

    Caroline Guibet Lafaye, sociologue, philosophe, CNRS

    Pierre Guillemin, doctorant en géographie, Université de Caen Normandie

    Elie Haddad, historien, CNRS

    Hugo Harari-Kermadec, économiste, ENS Paris-Saclay

    Samir Hadj Belgacem, sociologue, Université Jean Monnet, Saint-Etienne

    Iulia Hasdeu, anthropologue HETS Genève

    Jean-Marie Harribey, économiste, Université de Bordeaux

    Ingrid Hayes, historienne, Université Paris-Nanterre

    Benoit Hazard, anthropologue, CNRS, IIAC

    Anaïs Henneguelle, économiste, Université de Rennes 2

    Jacqueline Heinen, sociologue, UVSQ

    Odile Hélier anthropologue

    Mélanie Henry, historienne

    Odile Henry, Sociologue, Université Paris 8

    Etienne Hubert, historien, EHESS, Paris

    Romain Huret, historien, EHESS, Paris

    Sabina Issehnane, économiste, Université Rennes 2

    Mila Ivanovic, Docteure en sciences politiques sans poste, Paris

    Lloyd Izard, Institut Méditerranéen d’Océanologie, Université d’Aix-Marseille Louis Jachiet, informaticien, CNRS, Lille 

    Nicole Jacques-Lefèvre, Professeur des Universités émérite Nanterre, lettres Lionel Jacquot, Sociologue, Université de Lorraine

    Sébastien Jahan, Historien, Université de Poitiers

    Anne Jollet, Historienne, Université de Poitiers 

    Nicolas Jaoul, Anthropologue, CNRS/IRIS/EHESS

    Pierre Jardon, Professeur, Université de Grenoble

    François Jarrige, Historien, université de Bourgogne, Dijon

    Marc Jeanmougin, informaticien, Télécom Paris

    Fanny Jedlicki, sociologue, université du Havre

    Samy Johsua, Professeur retraité Université Aix-Marseille

    Elise Julien, historienne, Sciences Po Lille

    Lama Kabbanji, chercheuse, IRD-CEPED

    Damien Keller, bibliothécaire, Rennes

    Danièle Kergoat, sociologue, CNRS

    Pierre Khalfa, économiste, Fondation Copernic

    Michel Kokoreff, sociologue.

    Jean-Luc Kop, psychologie, Université de Lorraine

    Isabelle Krzywkowski, Université Grenoble Alpes

    Claire Lacour, mathématicienne, Université Paris-Est Marne-La-Vallée Rose-Marie Lagrave, sociologue, EHESS

    Bernard Lahire, sociologue, ENS de Lyon

    Ouida Lambert Bordji, enseignante en anglais - St Germain en Lay

    Michel Lanson, professeur retraité

    Mathilde Larrère, historienne

    Sabine Laurent, maîtresse de conférence à la retraite

    Christian Laval, sociologue, Université Paris Nanterre

    Hervé Le Crosnier, éditeur, Caen

    Gildas Le Dem, journaliste

    Eric Lecerf, philosophe, Université Paris 8

    Chloé Leprince, journaliste

    Julien Léonard, historien, Université de Lorraine

    Erwan Lehoux, enseignant en sciences économiques et sociales à Rouen Benoît Leroux, sociologue, Université de Poitiers

    Brice Le Gall, sociologue et photographe, EHESS

    Frédéric Le Roux, mathématicien, Sorbonne Université Université Paris 8 et 7 Emir Mahieddin, anthropologue, CNRS 

    Pascal Maillard, Littérature française, Université de Strasbourg

    Jean Malifaud, mathématicien, syndicaliste FSU

    Jean-Claude Mamet, syndicaliste

    Léopoldine Manac’h, étudiante en anthropologie, EHESS.

    Jimmy Markoum, enseignant en histoire-géographie, Lycée Angela Davis - Saint-Denis Anne Martel, Biophysicienne - Grenoble

    Antoine Lévêque, ATER en science politique, Sciences Po Lyon 

    Wenceslas Lizé, sociologue, Université de Poitiers 

    Gaëlla Loiseau, sociologue, université du Havre 

    Camille Louis, philosophe, 

    Gilles Martinet, géographe, doctorant à la Sorbonne Nouvelle - Paris 3 Gustave Massiah, économiste

    Gutierrez Beatriz Hispaniste

    Béatrice Matrot, enseignante lycée Chalon-sur-Saône. 

    Gérard Mauger, sociologue, CNRS

    Guillaume Mazeau, historien, Université Paris-1 Panthéon Sorbonne

    Véronique Melchior, Psychologue clinicienne

    Lamia Mellal ITRF, IREMAM

    Eléonore Merza Bronstein, anthropologue, co-directrice de De-Colonizer.

    Noufissa Mikou, professeure retraitée, Université de Bourgogne

    Christophe Mileschi, professeur, université Paris Nanterre

    Lamia Missaoui, Sociologue, Université de Versailles St-quentin-en yvelines

    Sylvie Monchatre, sociologue, Université Lumière Lyon2

    Vincent Monfort, STAPS, Université de Lorraine

    Marc Moreigne, écrivain et enseignant Arts du spectacle, Université d’Evry Val d’Essonne Danielle Moyse, chercheuse associée IRIS ( EHESS, CNRS, INSERM)

    Laurent Mucchielli, CNRS, Laboratoire Méditerranéen de Sociologie, Aix-en-Provence Mustapha Nadi, PU 63ème, Electronicien, Université de Lorraine

    Yvan Najiels, enseignant.

    Philippe Nabonnand, Enseignant, Université de Lorraine

    Erik Neveu, science politique, Université de Rennes

    Norig Neveu, histoire, CNRS, IREMAM, Aix-en-Provence

    Olivier Neveux, Ens de Lyon

    Gérard Noiriel, historien, EHESS, Paris

    Vincent Nyckees, linguiste, Université Paris Diderot

    Anne-Claudine Oller, sociologue, UPEC

    Julien O’Miel, politiste, Université de Lille

    Claude Paraponaris, économiste, Université Aix Marseille

    Alain Parrau, chargé de cours littérature française, Paris 7

    Frédéric Perdreau, EC sciences de gestion, Université de Saint-Etienne

    Stéfane Paris, informaticien, université de Lorraine

    Willy Pelletier, sociologue, université de Picardie

    Bastien Pereira Besteiro, sociologue, Université Lumière Lyon 2

    Anne Petiau, sociologue, Paris

    Roland Pfefferkorn, sociologue, Université de Strasbourg

    Anne-Laure Piallat, professeur, Paris

    Béatrice Pinat, professeur des écoles, Créteil

    Michel Pinault, historien des sciences et des milieux scientifiques

    Dominique Plihon, économiste, université Paris 13

    Raphael Porteilla, politiste, université de Bourgogne

    Paul Platzer, physicien, université Bretagne Loire

    Marion Plault, sociologie, université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

    Clyde Plumauzille, historienne, CNRS, Paris

    Pierre Puchot, écrivain, journaliste

    Jean Puyade enseignant en espagnol retraité Paris

    Pablo Rauzy, informaticien, Université Paris 8 

    Gianfranco Rebucini, anthropologue, EHESS

    Candice Raymond, historienne, université Paris 1

    Manuel Rebuschi, philosophie, université de Lorraine

    Yannick Reix - directeur cinéma Jacques Tati - 93

    Eugenio Renzi, enseignant, journaliste

    Michèle Riot-Sarcey, historienne

    Fabrice Riceputi, enseignant et historien, Besançon

    Marie-Pierre Rousseau Boileau, AED, lycée Les Pannevelles 77

    Nicole Roussel, retraitée

    Valérie Roussel, Enseignante, Philosophie. Académie de Limoges

    Laura Ruiz de Elvira, politiste, IRD-CEPED

    Valérie Sala Pala, politiste, Université Jean Monnet Saint-Etienne Alessandro Sarti, mathématicien, CNRS-EHESS, Paris

    Daniela Scancella, Ingénieur d’études EHESS

    Michel Seigneuret, Biophysicien, CNRS, Université Denis Diderot-Paris 7 Nicolas Sembel, Sociologue, Université Aix-Marseille

    Silvia Serrano, politiste, Sorbonne Université

    Thomas Shaw, comédien, Paris

    Catherine Simon, journaliste, écrivain

    Patrick Simon, démographe, Ined, Paris

    Maroula Sinarellis, retraitée, LaDéHiS/CRH/EHESS

    Rémi Sinthon, sociologue, Paris

    Michèle Soriano, latino-américaniste, Université Toulouse Jean Jaurès Paul Sorrentino, anthropologue, EHESS

    Karim Souanef, sociologue, université de LIlle

    Jacques Testart, biologiste, INSERM

    Marie-Thérèse Têtu, sociologue, CNRS Lyon

    Charles Thibout, chercheur, IRIS

    Gérard Tollet, enseignant, université P12-UPEC

    Christian Topalov, sociologue, EHESS, Paris

    Marc Tomczak, automatique et traitement du signal, université de Lorraine Jean-Louis Tornatore, anthropologue, université de Bourgogne

    Jean-Luc Tornero, retraité, enseignant, syndicaliste

    Jocelyne Tournois, retraitée, Université de Lorraine

    Michel Touzet, libraire

    Maryse Tripier, sociologue Université Paris-Diderot

    Vanessa Tico Rivera, Ergonome Toulouse

    François Valegeas, urbaniste, Université Paul-Valery Montpellier 3

    Patrick Vassallo, économie sociale et solidaire, Paris 8

    Mélanie Vay, Université de Paris Panthéon-Sorbonne

    Carlo Vercellone, économiste, Université de Paris 8

    Frederic Verhaegen, MCF psychologie, université de Lorraine

    Pauline Vermeren, philosophie, Paris 7 / Paris 8

    Bernard Vernier, anthropologue

    Sébastien Vignon, politiste, Université de Picardie

    Christiane Vollaire, philosophe, Paris 

    Sophie Wauquier, linguiste, Université Paris 8, Université pour la Paix.

    Pierre-Olivier Weiss, ATER en sociologie, Laboratoire Méditerranéen de Sociologie, Aix-en-Provence

    Sylvie Wharton, sociolinguiste, Université d’Aix-Marseille

    Carole Yerochewski, sociologue, Université du Québec en Outaouais

    Michelle Zancarini-Fournel, historienne, université de Lyon

    Nadjet Zouggar, islamologie, Université Aix Marseille

    Elisabeth Zucker

    Nepthys Zwer, germaniste, Strasbourg