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Plan social chez General Electric : les blocages des ateliers se poursuivent
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Pendant plus d'une heure, les salariés de General Electric se sont réunis en assemblée générale, ce jeudi 10 octobre, dans le bâtiment du Techn'Hom. Alors que le blocage des ateliers de turbines à gaz de Belfort et Bourogne se poursuit pour protester contre le plan de restructuration de la direction prévoyant la suppression de près de 1 050 postes en France, dont 792 dans le site belfortain.
Devant près de 500 personnes, les différents représentants de l'intersyndicale ont rappelé la situation et surtout le lancement du blocage "dernier recours; On l'utilise parce que la direction nous y a poussé", résume Francis Fontana, délégué syndical CFE/CGC dans l'entité gaz de General Electric.
"Ce qui va se dire dans les prochaines 36 heures va déterminer la suite de l'action"
Après l'échec de la réunion entre l'intersyndicale et la direction mercredi, une nouvelle rencontre est prévue cet après-midi à l'initiative de la direction. Il y sera question notamment de stratégie. "L'intitulé est assez flou", note un syndicaliste. "Mais on reste curieux de savoir ce qu'ils ont à nous dire."
Une autre réunion se tiendra vendredi avec Patrick Mafféïs, directeur des opérations industrielles de GE Power pour l’Europe. L'intersyndicale avait proposé que cette rencontre se tienne à la préfecture, symbole de l'Etat. Elle se déroulera finalement dans un autre lieu "mais pas dans les locaux de GE", prévient l'intersyndicale.
"Ce qui va se dire dans les prochaines 36 heures va déterminer la suite de l'action", résumait Nicolas Mercier, délégué CFE-CGC. En cas d'échec des discussions, on pourrait bien voir le bâtiment T05, où travaillent la majorité des ingénieurs et des cadres, être à son tour bloqué.