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Retrait du décret sur les rythmes scolaires !
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le gouvernement a fait connaitre, le projet de décret Peillon aménageant la semaine dans le premier degré. Sous couvert des rythmes scolaires, il prévoit une demi-journée de travail supplémentaire et programme la soumission des écoles et enseignants aux communes via l’introduction des projets éducatifs territoriaux. Ces PET représentent une remise en cause du cadre national de l’enseignement public et des statuts. La circulaire codifiant la partie annualisée des services des enseignants le confirme.
Face à de telles attaques, des réactions se font entendre, particulièrement à Paris où l’unité syndicale est faite contre ce projet (grève le 22 Janvier), d’autres initiatives se préparent. Signe de l’opposition des enseignants, les principaux syndicats enseignants ont voté contre ce projet aux instances consultatives (CSE, CTM) la semaine dernière.
Agir
Rien n’est gagné, Peillon a déclaré : « il n’y a pas de proposition alternative », confirmant la volonté du gouvernement de promulguer le décret et s’appuyant ainsi sur le refus du SNUipp-FSU d’exiger le retrait du projet. Dans les écoles, AG et réunions syndicales doivent se multiplier. Au conseil syndical du SNUipp des Bouches-du-Rhône, à Marseille (4/01), une motion repoussée de justesse jugeait que « La réponse face à un tel projet s’impose d’elle-même : l’unité pour le RETRAIT pur et simple. L’heure n’est plus de demander au gouvernement des précisions ou de nouvelles concertations ».
À l’évidence, c’est en multipliant les prises de position, pour l’unité des enseignants et de leurs syndicats contre ce projet et non pour une « réécriture » qu’il sera possible d’obtenir le retrait de ce texte et au-delà de la loi d’orientation dont découle ce décret. En tous les cas, l’heure est à la mobilisation.