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Les directions syndicales n'arrivent pas à s'entendre sur les modalités de la journée d'action du 11 octobre
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L'intersyndicale (CFDT-CGT-UNSA-FSU-Solidaires) n'a pas réussi à s'entendre sur des modalités nationales de la journée d'action interprofessionnelle du 11 octobre contre le plan "antidéficit" du gouvernement. Jeudi 15 septembre, les représentants des cinq syndicats se sont séparés sans appeler à la grève ou à des arrêts de travail, se contentant de renvoyer au niveau départemental et au sein de chaque entreprise pour d'éventuels appels à la grève.
La CFDT et l'UNSA se sont opposées à un appel à la grève, craignant "des manifestions riquiqui qui auraient un effet désastreux le 11 octobre au soir", a justifié Marcel Grignard de la CFDT. "Nous ne croyons pas à l'efficacité d'une mécanique d'arrêt de travail dans la période actuelle", a expliqué M. Grignard. Et d'assurer que le principal souci des salariés est actuellement "le risque d'éclatement de la zone euro, pas le plan Fillon".
Le 1er septembre, il avait déjà fallu plusieurs heures à l'intersyndicale pour décider de la date même de cette journée d'action et des revendications qu'elle porterait. Il en était ressorti un vaste catalogue de demandes allant de l'abandon de la taxation des complémentaires santé à l'instauration d'une taxe sur les transactions financières.
PAS LA FIN DE L'INTERSYNDICALE
Les trois syndicats favorables à un appel à des arrêts de travail (CGT, FSU et Solidaires) n'ont pu que prendre acte de l'impossibilité de mobiliser la CFDT. "On ne pense pas que dans ce contexte-là on puisse mobiliser seul et gagner, il fallait un appel unitaire ", a expliqué Bernadette Groison, de la FSU. Chez Solidaires, Annick Coupé ne cachait pas sa déception."Nous aurions souhaité un signe plus fort de l'intersyndicale au niveau national", a-t-elle expliqué.
Tous les syndicats ont toutefois insisté sur leur convergence de vue sur la crise actuelle, assurant que l'absence d'unité sur la journée du 11 octobre ne signifiait pas la fin de l'intersyndicale. Ils ont à nouveau dénoncé la taxation des mutuelles et critiqué des mesures antidéficit "inefficaces et injustes". Dans ces conditions, les formes de mobilisation le 11 octobre devraient différer de ville en ville, la CFDT souhaitant notamment que les manifestations soient organisées de façon à ce "que le maximum de personnes puissent manifester sans poser d'arrêts de travail". L'organisation d'une manifestation unitaire à Paris n'est pas acquise, la décision devant être discutée par l'intersyndicale francilienne vendredi 16 septembre.