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Rennes-II fermée pour empêcher une AG sur la mort de Rémi Fraisse
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Monde) « Une attaque en règle contre la démocratie », estiment les étudiants après que la direction de l'université de Rennes-II a annoncé, mardi 11 novembre, que cette dernière serait fermée mercredi « pour des raisons de sécurité », afin d'empêcherqu'une assemblée générale consacrée à la mort du jeune écologiste Rémi Fraisse se déroule sur le campus ce jour-là. En réaction à cette fermeture, Solidaires Etudiant-e-s Rennes a appelé mardi soir à une nouvelle assemblée générale jeudi, à 12 h 30, dans cette même université.
La fermeture, décidée pour mercredi par Jean-Emile Gombert, le président de l'université, « est liée à l'organisation de cette AG et par rapport aux heurts encentre-ville la semaine dernière », lors de manifestations en hommage à Rémi Fraisse, tué par une grenade offensive sur le site du barrage contesté de Sivens (Tarn), a justifié la direction de l'université.
En outre, cette AG, « annoncée dans des tracts », ne devait être organisée ni par des syndicats ou des organisations professionnelles de Rennes-II, ni des syndicats étudiants, mais par des éléments extérieurs, estime la direction.
VIOLENCES ET DÉGRADATIONS CES DERNIERS JOURS
La fermeture de Rennes-II, annoncée aux étudiants, était prévue pour durer vingt-quatre heures, décision « condamnée » mardi soir par le syndicat UNEF qui s'est dit « choqué » par la décision de la direction de l'université, « contrevenant à la liberté de réunion et d'association ». Plusieurs manifestations, organisées ces derniers jours dans la capitale bretonne, ont donné lieu à des violences et des dégradations, après les évènements du barrage de Sivens.
Samedi, jusqu'à 300 manifestants, selon les autorités, ont défilé à Rennes en mémoire de Rémi Fraisse, malgré l'interdiction de la préfecture. Cette manifestation s'est toutefois déroulée généralement dans le calme, avec un seul blessé léger enregistré parmi les contestataires. Quelque 300 à 350 policiers et gendarmes avaient été mobilisés, selon la préfecture.




