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L’usine Goodyear d’Amiens-Nord n’a pas trouvé de repreneur
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(France télévision) Près de 330 salariés étaient susceptibles d'être embauchés par Titan, qui finalement n'est pas candidat à la reprise.
Il n'y aura aucun repreneur pour l'usine de pneumatiques Goodyear d'Amiens-Nord (Somme) qui a fermé en janvier, avec 1 143 pertes d'emplois à la clef, a annoncé, jeudi 27 novembre, le directeur des ressources humaines de Goodyear Dunlop Tires France.
"Je peux affirmer aujourd'hui que toute discussion avec un repreneur potentiel, y compris Titan, est terminée", a déclaré Jean-Philippe Cavaillé, dans un entretien exclusif au Courrier Picard. Près de 330 salariés étaient susceptibles d'être embauchés par Titan et son PDG, Maurice Taylor. L'équipementier américain s'est longtemps dit intéressé par la reprise de l'activité pneus agraires du site. Mais la décision est "définitive" et "irrévocable", a ajouté Jean-Philippe Cavaillé.
"Il y a deux ans, on a travaillé sur un projet de reprise de l'activité agricole. Ce projet a été rejeté par la CGT. Ces derniers mois, on s'est à nouveau approché du groupe Titan pour essayer, une nouvelle et ultime fois, de trouver une solution pour le site d'Amiens-Nord, dans un contexte économique difficile", a expliqué Jean-Philippe Cavaillé, indiquant que l'échec final des discussions engagées était très récent.
La CGT surprise par cette annonce
Aujourd'hui, 1 008 ex-salariés sont concernés par le congé de reclassement qui se termine en février 2015 alors qu'il y a quelques semaines, l'inspection du travail a invalidé le licenciement des 42 élus du personnel. La CGT a lancé plusieurs procédures juridiques : une action prud'homale pour invalider le motif de licenciement économique (audience le 22 janvier à Amiens) et une action de groupe aux Etats-Unis concernant les maladies professionnelles.
Cette annonce a surpris Mickaël Wamen (CGT), contacté par France 3 Picardie : "Il y a trois semaines, [le ministre de l'Économie] Emmanuel Macron a dit dans la presse locale que les discussions avec un repreneur étaient en cours. La préfète de la Somme m'a dit personnellement qu'il y aurait un repreneur."




