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Thierry Lepaon a touché des indemnités en quittant la CGT de Basse-Normandie
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Monde) Après les révélations sur le coût des travaux de son appartement, puis celles surle montant de la rénovation de son bureau, le secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT), Thierry Lepaon, est sous le feu des critiques. Dans un article daté du lundi 1er novembre, L'Expansion enfonce le clou, en dévoilant que Thierry Lepaon a bénéficié d'une rupture conventionnelle lorsqu'il a quitté en 2013 la CGT de Basse-Normandie pour prendre la tête du syndicat au niveau national.
Une telle rupture conventionnelle n'a rien d'illégal, les bureaux régionaux de la CGT étant des entités distinctes et autonomes du bureau national. « Je changeais d'employeur », s'est ainsi justifié Thierry Lepaon dans L'Expansion. Mais savoirque le secrétaire général de la CGT a ainsi bénéficié d'indemnités de départ alors qu'il restait dans le monde de la CGT – lequel déclare ne pas se souvenir du montant d'après L'Expansion – n'est pas pour redorer l'image d'un homme actuellement affaibli.
LA THÈSE D'UN CORBEAU
Fin octobre, Le Canard enchaîné révélait que la CGT avait déboursé 105 000 euros pour des travaux de rénovation dans l'appartement de fonction de Thierry Lepaon. Un mois plus tard, l'hebdomadaire satirique dévoilait que le bureau du numéro un du syndicat avait lui été rénové pour plus de 62 000 euros.
Thierry Lepaon a succédé à Bernard Thibault en 2013 au terme d'une longue guerre de succession qui a laissé ouvertes de profondes plaies. Après les révélations sur les travaux onéreux du numéro 1 de la CGT, plusieurs responsables du syndicat avaient dit s'attendre à la sortie prochaine d'autres affaires.




