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Japon: La récession se confirme, mais Abe reste confiant
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
A moins d’une semaine des élections législatives, le PIB du pays vient d’être à nouveau revu à la baisse – plus bas encore que l’évaluation préliminaire. Mais cette mauvaise nouvelle ne devrait pas coûter de sièges au pouvoir en place, selon les sondages.
Le gouvernement vient de revoir à la baisse le taux de croissance du Japon, sur la période de juillet à septembre ; le PIB a enregistré une chute de 6,7 %, puis de 1,9 % au cours des deux derniers trimestres. "Une surprise pour la plupart des analystes, qui prévoyaient une légère atténuation des prévisions annoncée le mois dernier", peut-on lire dans leNihon Keizai Shimbun. La principale cause de cette chute, selon leMainichi Shimbun, est la baisse de l'investissement des entreprises.
Il s'agit d’une mauvaise nouvelle qui se confirme pour le Parti libéral démocrate (PLD conservateur, au pouvoir), qui mise sur la politique de relance économique du Premier ministre, Shinzo Abe, baptisée Abenomics. Le gouvernement continue à défendre son programme de relance et a déclaré que "l'économie japonaise se [maintenait] malgré cette croissance modérée", comme le rapporte la NHK. Cependant, ces chiffres sont désignés par l’opposition comme un signe évident de son échec.
Pour faire face au marasme économique, le Premier ministre avait décidé le mois dernier de repousser d’un an l'augmentation de la TVA de 8 à 10 %, et a dissous la Chambre basse afin d'organiser de nouvelles élections, qui auront lieu le 14 décembre. D'après les sondages effectuéspar le Mainichi, la coalition au pouvoir (le PLD et le Nouveau Komeito) devrait remporter plus de deux tiers des sièges – le PLD pourrait même remporter la majorité à lui tout seul. "Le retour de la récession ne semble donc pas tant fragiliser le pouvoir en place – ce qui ne fait pas l'affaire de l'opposition", écrit l'Asahi Shimbun.
Il s'agit d’une mauvaise nouvelle qui se confirme pour le Parti libéral démocrate (PLD conservateur, au pouvoir), qui mise sur la politique de relance économique du Premier ministre, Shinzo Abe, baptisée Abenomics. Le gouvernement continue à défendre son programme de relance et a déclaré que "l'économie japonaise se [maintenait] malgré cette croissance modérée", comme le rapporte la NHK. Cependant, ces chiffres sont désignés par l’opposition comme un signe évident de son échec.
Pour faire face au marasme économique, le Premier ministre avait décidé le mois dernier de repousser d’un an l'augmentation de la TVA de 8 à 10 %, et a dissous la Chambre basse afin d'organiser de nouvelles élections, qui auront lieu le 14 décembre. D'après les sondages effectuéspar le Mainichi, la coalition au pouvoir (le PLD et le Nouveau Komeito) devrait remporter plus de deux tiers des sièges – le PLD pourrait même remporter la majorité à lui tout seul. "Le retour de la récession ne semble donc pas tant fragiliser le pouvoir en place – ce qui ne fait pas l'affaire de l'opposition", écrit l'Asahi Shimbun.




