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Douai : réunification des UL CGT sur des bases de lutte!
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Source : La voix du Nord
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Douai : les deux unions locales CGT de Douai ne vont bientôt faire plus qu’une
Fin d’une longue histoire conflictuelle. L’arrondissement de Douai était « couvert » depuis 2009 par deux unions locales CGT. Les deux secrétaires généraux ont décidé de solder le différend par une fusion.

Yves Quignon et Philippe Nalewajek ont pris la décision de fusionner les deux unions locales CGT du Douaisis.
Si à Montreuil, siège de la Confédé, c’est la guerre, à Douai, bastions de deux unions locales CGT, c’est l’heure de l’armistice. Yves Quignon, secrétaire général de l’Union locale CGT d’arrondissement de Douai, et Philippe Nalewajek, son alter ego à l’Union locale (historique) des syndicats CGT du Douaisis, ont décidé d’arrêter les frais d’une rivalité née en 2008. Une rivalité née du temps où feu Jacques Leclercq, secrétaire fondateur en 1983 de l’Union locale CGT historique, était aux affaires.
Une rivalité opposant des syndicalistes « de lutte des classes », à savoir les troupes de J. Leclercq puis P. Nalewajek, à des syndicalistes dans la ligne de Confédé alors tenue par Bernard Thibault. Une rivalité qui s’est soldée en 2009 par une procédure (perdue) de l’UL CGT historique pour empêcher la tenue du congrès fondateur de la nouvelle UL.
De l’eau a coulé sous les ponts. Et Philippe Nalewajek et Yves Quignon ne veulent pas de Philippe Martinez comme secrétaire général. Ils veulent une CGT plus revendicative, plus à l’écoute du terrain.
D’où cette fusion qui passe par une assemblée générale commune le 6 février à Waziers, en présence des syndicats CGT du public et privé de l’arrondissement de Douai. Des commissions seront créées dans la perspective de la tenue d’un congrès en octobre. Quel nom pour la nouvelle UL ? « Je suis partisan d’un nouveau sigle pour faire table rase du passé », argumente Y. Quignon. Deux bâtiments, l’un rue des Vierges (UL historique) mis à disposition par la mairie, l’autre rue des Glacis, loué, n’est-ce pas un de trop désormais ? « Nous souhaitons un local qui soit bien identifié des salariés », dit P. Nalewajek. Peut-être même ailleurs pour tirer un trait définitif sur le passé.




