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Le NPA "tourne la page" du Front de gauche pour les élections
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(afp) Le nouveau parti anticapitaliste (NPA) a décidé dimanche à l'issu de son 3e congrès de "tourner la page des discussions avec le Front de gauche pour les élections" à venir.
La nouvelle majorité du NPA a décidé de "tourner la page des discussions avec les composantes du Front de gauche pour les élections", a expliqué à l'AFP Gaël Quirante, porte-parole d'une des plateformes représentées lors du Congrès.
Si le NPA se retrouvera encore dans les manifestations, dans les "luttes", avec le Front de gauche, plus question de discuter avec lui des questions électorales.
"Pour les élections (départementales et régionales) de 2015 et de 2017 (présidentielle), le NPA ne sera pas avec le Front de gauche", a affirmé à l'AFP Ludovic Wolfgang, porte-parole d'une plateforme de la majorité. "On ne discutera pas non plus avec eux sur l'éventualité ou pas de présenter un candidat".
"On se prépare dès maintenant à présenter un candidat à la présidentielle de 2017", a assuré Gaël Quirante qui n'exclut pas "des discussions avec Lutte ouvrière".
"On ne se félicite pas" de la rupture nette avec le Front de gauche, "c'est un très mauvais message pour le NPA donné à l'extérieur", a pour sa part réagit Sandra Demarcq, porte-parole de la plateforme 1, mise en minorité.
Cette plateforme, signée par l'ancien candidat NPA à la présidentielle Olivier Besancenot, était moins catégorique quant à la rupture avec le Front de gauche.
Le NPA, créé en 2009 et qui comptait alors 9.000 adhérents, a vu il y a un an et demi plusieurs centaines d'adhérents et cadres rejoindre avec le courant Gauche unitaire, le Front de Gauche (FG). Aujourd'hui le NPA compte 2.100 adhérents.
"Malgré nos difficultés internes, le NPA sera dans toutes les luttes pour s'opposer frontalement au gouvernement", a souligné Sandra Demarcq.
En ligne de mire du NPA notamment, l"unité nationale", "un piège" du gouvernement. "Il y a urgence face à cette unité nationale", a assuré Sandra Demarcq pour qui le NPA reste "de façon unitaire et radicale une force pour combattre les lois et réformes de ce gouvernement".




