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Les frondeurs du PS à la soupe !
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Les Echos) Les députés socialistes frondeurs rencontreront François Hollande « dans les jours qui viennent », a annoncé Jean-Marc Germain.
Des frondeurs dans un gouvernement Valls III ? Les députés socialistes frondeurs sont prêts à rejoindre l’équipe gouvernementale à l’occasion d’un remaniement, a annoncé ce vendredi matin Jean-Marc Germain. Ce proche de Martine Aubry a également souhaité le retour des Verts, dans le cadre d’un accord global entre les formations et sensibilités politiques qui ont permis l’élection du chef de l’Etat en 2012. « La priorité, c’est qu’on ait un contrat de gouvernement qui réunissent tous ceux qui ont porté François Hollande, c’est-à-dire les écologistes, l’ensemble de la gauche, (et) le soutien, peut-être sans participation, des communistes », a-t-il dit sur Public Sénat. « Je souhaite le retour des Verts (...) et (des) aubrystes », a-t-il ajouté. « Après, quel aubryste ? Ça m’est franchement égal. Moi, je suis prêt à l’être car je n’ai jamais fui les responsabilités. »
L’exécutif étudie l’opportunité d’un remaniement ministériel après le second tour des départementales, le 29 mars. Ce serait l’occasion de nommer un nouveau secrétaire d’Etat à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, après le départ de Geneviève Fioraso du gouvernement, jeudi. Carole Delga (Commerce, Artisanat) , candidate aux élections régionales de décembre pourrait aussi être libérée pour faire campagne. Il y également trois ministres candidats aux départementales - Patrick Kanner (Ville), Ségolène Neuville (Personnes handicapées) et André Vallini (transports) -, qui en fonction de leurs scores pourraient rester ou quitter l’équipe Valls.
Si le nom de Jean-Marc Germain, qui affirme qu’il se serait simplement « abstenu » sur la loi Macron , est souvent cité. Celui de François Lamy, débarqué au printemps 2014, l’est aussi.
Jean-Marc Germain a également expliqué que François Hollande recevrait les députés « frondeurs » dans « les jours qui viennent » mais sans révéler la date de ce rendez-vous. « C’est lui qui décide des lois dans notre pays, donc il faut qu’il ait des contacts avec les parlementaires », a-t-il déclaré. « C’est important que ce rendez-vous ne soit pas une mise en scène, ni du président de la République (...) ni des frondeurs. »




