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Dans ses 11 villes, le FN fait presque carton plein avec 18 élus
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le FN n'a pas réussi a conquérir un département. Il n'a pas non plus dépassé la barre des cent conseillers départementaux comme il pouvait l'espérer au soir du premier tour, se contentant de 62 élus dans 14 assemblées. Mais au siège du parti à Nanterre, il y a au moins un motif de satisfaction : les bons scores des candidats FN dans les villes conquises il y a un an tout juste.
Sur les onze municipalités gagnés en mars 2014, le FN a vu neuf de ses binômes l'emporter, soit 18 élus départementaux. Et dans la quasi-totalité de ses villes, les candidats de Marine Le Pensont arrivés en tête.
A Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) et Béziers (Hérault), le parti fait un sans faute. Dans les deux cantons de la cité ouvrière du nord de la France, les binômes soutenus par le maire Steeve Briois ont gagné au second tour dans un duel face à des candidats de gauche. Un succès dû en grande partie au vote des électeurs de la commune. Dans le premier canton, le binôme FN a récolté 61,78% des suffrages exprimés dans les bureaux de vote d'Hénin-Beaumont, 65,21% dans le second.
Le FN gagne les trois cantons de Béziers
A Béziers, dirigée par l'ancien président de Reporters sans Frontière Robert Ménard, les trois cantons sont passés au second tour dans l'escarcelle du FN qui réalise presque un grand chelem. Si on additionne les 19 communes des trois cantons, le parti d'extrême droite est arrivé premier dans 18 d'entre elles.
En arrivant en tête des sept communes du canton, le FN fait un carton plein à Beaucaire (Gard). Idem au Pontet (Vaucluse), où l'ex-maire Joris Hébard, dont l'élection a été annulée le mois dernier, passe avec 53,7%. Un autre édile du FN élu l'an dernier l'emporte chez lui : c'est Franck Briffaut dans le canton de Villers-Cotterêts (Aisne), élu de peu (51,89% au 2nd tour), mais avec une confortable avance dans sa ville (56,60%).
Le maire de Mantes-la-Ville balayé
Le FN a malgré tout essuyé de sérieux revers, comme dans le canton de Mantes-la-Jolie (Yvelines). Le maire de Mantes-la-Ville, Cyril Nauth, a été balayé par le président du conseil général sortant UMP Pierre Bédier, se contentant de 33,39% des suffrages au second tour. Il n'est même pas majoritaire sur sa commune (43,92%).
Autre échec : à Marseille-4 (Bouches-du-Rhône), qui comporte le 7e secteur dirigé par le frontiste Stéphane Ravier, le binôme FN n'a pas fait le poids face aux candidats socialistes. Même scénario à Hayange (Moselle). Dans le canton du Luc( Var), c'est une liste de droite qui a battu les candidats frontistes.
Enfin, si le binôme FN échoue dans le canton de Sainte-Maxime (Var), il peut se consoler avec les 57,12% recueillis sur la commune de Cogolinconquise aux municipales.
A Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) et Béziers (Hérault), le parti fait un sans faute. Dans les deux cantons de la cité ouvrière du nord de la France, les binômes soutenus par le maire Steeve Briois ont gagné au second tour dans un duel face à des candidats de gauche. Un succès dû en grande partie au vote des électeurs de la commune. Dans le premier canton, le binôme FN a récolté 61,78% des suffrages exprimés dans les bureaux de vote d'Hénin-Beaumont, 65,21% dans le second.
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A Béziers, dirigée par l'ancien président de Reporters sans Frontière Robert Ménard, les trois cantons sont passés au second tour dans l'escarcelle du FN qui réalise presque un grand chelem. Si on additionne les 19 communes des trois cantons, le parti d'extrême droite est arrivé premier dans 18 d'entre elles.
En arrivant en tête des sept communes du canton, le FN fait un carton plein à Beaucaire (Gard). Idem au Pontet (Vaucluse), où l'ex-maire Joris Hébard, dont l'élection a été annulée le mois dernier, passe avec 53,7%. Un autre édile du FN élu l'an dernier l'emporte chez lui : c'est Franck Briffaut dans le canton de Villers-Cotterêts (Aisne), élu de peu (51,89% au 2nd tour), mais avec une confortable avance dans sa ville (56,60%).
Le maire de Mantes-la-Ville balayé
Le FN a malgré tout essuyé de sérieux revers, comme dans le canton de Mantes-la-Jolie (Yvelines). Le maire de Mantes-la-Ville, Cyril Nauth, a été balayé par le président du conseil général sortant UMP Pierre Bédier, se contentant de 33,39% des suffrages au second tour. Il n'est même pas majoritaire sur sa commune (43,92%).
Autre échec : à Marseille-4 (Bouches-du-Rhône), qui comporte le 7e secteur dirigé par le frontiste Stéphane Ravier, le binôme FN n'a pas fait le poids face aux candidats socialistes. Même scénario à Hayange (Moselle). Dans le canton du Luc( Var), c'est une liste de droite qui a battu les candidats frontistes.
Enfin, si le binôme FN échoue dans le canton de Sainte-Maxime (Var), il peut se consoler avec les 57,12% recueillis sur la commune de Cogolinconquise aux municipales.