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Municipale partielle à Gardanne: victoire du sortant PCF
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le maire sortant communiste de Gardanne (Bouches-du-Rhône) a été largement réélu dimanche lors du 2e tour de l'élection municipale partielle, après l'annulation du scrutin de 2014 par le Conseil d'Etat.
Roger Meï, 80 ans, maire depuis 1977 de cette commune ouvrière de 20.000 habitants située entre Marseille et Aix-en-Provence, a obtenu 49,35% des voix, contre 42,05 % à son principal opposant Jean-Brice Garella (DVG-UDI). La liste FN conduite par Clément Poittevin a réuni 8,61% des voix, à l’issue de cette triangulaire.
Ce résultat confirme celui du premier tour, où M. Méï était largement arrivé en tête, avec 41,93% des suffrages, contre 32,02% à M. Garella, un chef d’entreprise.
"La gauche rassemblée gagne #Gardanne et étrille le Front national ! La leçon est là", a tweeté dimanche soir le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis.
Le Conseil d’Etat avait confirmé le 9 juin l’annulation de l’élection de mars 2014. Il avait été saisi par M. Meï, qui l’avait emporté avec 69 voix d’écart, à la suite d’un jugement du tribunal administratif de Marseille le 14 octobre 2014, annulant ce scrutin.
M Meï était arrivé au second tour en tête dans une quadrangulaire avec 39,70% des voix, juste devant son ancien adjoint DVG Jean-Brice Garella (39,01%), une liste FN et une autre DVD.
Son rival de gauche avait demandé l’annulation de l’élection parce que figurait sur la liste du maire sortant Jean-Marc La Piana, un médecin directeur d’un établissement de soins palliatifs à Gardanne, qu’il estimait inéligible, ce que le tribunal a reconnu.
La justice a en effet estimé que le domicile de M. La Piana à Gardanne était fictif, qu’il habitait en réalité Aix-en-Provence et "n’était pas inscrit au rôle des contributions directes" de la commune (il ne payait pas d’impôts, ndlr).
Or, avait estimé le TA, la notoriété de cet homme est "de nature à influencer le vote de certaines catégories d’électeurs" et donc, au regard du faible écart séparant les deux candidats, "de nature à altérer la sincérité du scrutin".
Le Conseil d’Etat avait repris ces arguments.




