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Manif à Paris contre le massacre de Suruç
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Les Echos) Plusieurs centaines de manifestants, en large majorité kurdes, ont défilé à Paris pour dénoncer la « complicité » de la Turquie avec l’EI après l’attentat suicide de Suruç.
Chiffrés à 800 par la police, les protestataires ont marché dans le calme de la Gare de l’Est à la place de la République, pour réclamer « la vérité » sur l’attaque. Ils ont fustigé dans le même temps les bombardements contre les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) menés dans la nuit de vendredi à samedi par la Turquie parallèlement à son offensive contre l’EI.
« Le comble : la Turquie bombarde le PKK qui est le rempart contre Daesh », proclamait une grande banderole noire en tête du défilé. « Halte au terrorisme de l’Etat turc », « Erdogan assassin », « AKP complice de Daesh » : au sein du cortège, de multiples pancartes ou slogans scandés par les manifestants ont pour cible le président turc Recep Tayyip Erdogan et son parti islamo-conservateur AKP.
Manifestation en cours à Paris en soutien à #Suruc et aux#Kurdes. #TwitterKurds pic.twitter.com/SrXH7DAXcp
— PM ن (@bretttemplar) 25 Juillet 2015
Des drapeaux rouges aux couleurs de la Fédération des associations des jeunes socialistes (SGDF), l’organisation proche de la cause kurde pour laquelle militaient la plupart des victimes de l’attentat de Suruç, étaient également nombreux. La manifestation était organisée à l’appel de plusieurs mouvements ou associations kurdes en exil, avec l’appui entre autres des Jeunes communistes et du Nouveau parti anticapitaliste (NPA).
Attaques aériennes contre des positions du PKK en Irak
L’attentat perpétré par un jeune Turc à Suruç , qui a fait 32 morts et une centaine de blessés lundi, a été attribué par Ankara à l’EI mais l’organisation jihadiste ne l’avait toujours pas revendiqué samedi.
La Turquie, qui s’est engagée depuis dans une offensive aérienne contre les jihadistes en Syrie, a ouvert un second front en bombardant dans la nuit de vendredi à samedi les rebelles du PKK dans le nord de l’Irak. Ankara a ordonné ces frappes après une série d’attaques attribuées ces derniers jours à des militants proches du PKK contre des membres des forces de sécurité turques.




