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Grève générale en Uruguay, pour réclamer de meilleurs salaires
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
MONTEVIDEO, 6 août 2015 (AFP) - L'Uruguay vivait au ralenti jeudi, privée de la quasi-totalité de ses transports publics, en raison d'une grève générale des travailleurs pour demander de meilleurs salaires et l'augmentation du budget de l'Etat.
Sous une pluie intense, les rues de Montevideo étaient pratiquement vidées de leurs bus, seul un service minimum étant assuré, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les administrations publiques, le secteur bancaire, l'enseignement public et privé, ainsi que la santé (sauf dans les situations d'urgence) étaient également à l'arrêt.
Il s'agit de la première grève générale depuis l'arrivée au pouvoir en mars du président de gauche Tabaré Vazquez, du même parti (Frente Amplio) que son prédécesseur, le très charismatique José Mujica.
Selon la centrale syndicale PIT CNT, organisatrice de cette journée d'action, un million de travailleurs devraient participer à cette grève, dans un pays qui compte 3,4 millions d'habitants.
"Cette lutte vise à créer des conditions pour empêcher que ce soit les plus faibles qui finissent par payer le prix du ralentissement économique", a affirmé le président de PIT CNT, Fernando Pereira.
L'économie du petit pays sud-américain est en effet sous tension en raison des difficultés de ses voisins, le Brésil et l'Argentine, et de la chute constante de ses exportations.
L'inflation est par ailleurs très élevée, à 9,02% sur un an, bien au-dessus de la fourchette visée par le gouvernement (3-7%).
Cette grève, critiquée par les chambres du commerce et de l'industrie, survient alors que démarrent les négociations salariales entre patron et salariés, sous l'impulsion du gouvernement.
Les syndicats réclament de meilleures rémunérations pour les salariés, notamment pour faire face à la forte inflation.
Plusieurs secteurs de l'administration publique souhaitent également une hausse des dépenses publiques dans le projet de budget, qui doit être approuvé par le Parlement et sera en vigueur jusqu'à la fin du quinquennat de Tabaré Vazquez en 2020.