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Retraites complémentaires: les féministes demandent aux syndicats de ne pas signer
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Plusieurs organisations appellent les syndicats à ne pas signer l'accord de principe conclu avec le patronat sur les retraites complémentaires Agirc-Arrco, qui "aboutirait à pénaliser encore plus lourdement les femmes", dans une tribune publiée mercredi sur Mediapart.
Osez le féminisme, le Planning familial, la Fondation Copernic, Attac et les Effronté-e-s, en appellent à Laurent Berger (CFDT), Carole Couvert (CFE-CGC) et Philippe Louis (CFTC), les responsables des trois syndicats qui doivent finaliser cet accord vendredi au siège du Medef. "Le projet d'accord prévoit que sur les 6 milliards de financement nécessaires, l'essentiel (environ 90 %) sera supporté par les salarié-e-s et les retraité-e-s", écrivent les signataires. "Or, les sacrifices que vous leur imposez seront particulièrement discriminants pour les femmes". "Les femmes en France gagnent toujours 27% de moins que les hommes, tout temps de travail confondu" et elles ont "des pensions inférieures de 40% à celles des hommes", soulignent-elles. "Elles ont encore aujourd'hui des carrières plus courtes que les hommes, elles partent en retraite en moyenne plus tard" et "toute augmentation de la durée de cotisation exigée pour avoir une pension à taux plein les pénalise donc plus fortement".
Les organisations soulignent par ailleurs que "certains syndicats avaient proposé d'instaurer une cotisation temporaire pour toutes les entreprises dans lesquelles l'égalité femmes-hommes n'était pas effective, de façon à inciter fortement aux comportements vertueux, et à dégager des ressources supplémentaires pour les régimes".
La mesure phare de l'accord sur les retraites complémentaires est un système de bonus-malus mis au point par le Medef. A partir de 2019 (génération 1957), s'ils veulent toucher une retraite complémentaire complète, les salariés devront travailler une année de plus une fois atteints l'âge légal de départ et la durée de cotisation requise pour une pension à taux plein. Sinon, leur retraite complémentaire sera amputée de 10% par an pendant deux, voire trois ans.