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Espagne: des milliers de manifestants contre une intervention en Syrie
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(afp) Madrid - Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi à Madrid contre un engagement de l'Espagne dans le conflit syrien, alors que le chef du gouvernement Mariano Rajoy assurait une nouvelle fois qu'il ne prendrait aucune décision précipitée, à moins d'un mois des élections.
Non à la guerre, ont clamé les manifestants -5.000 selon une nouvelle estimation des organisateurs- réunis devant le musée Reina Sofia à Madrid à midi.
L'appel à rassemblé une centaine de personnes dans d'autres villes, a fait savoir une porte-parole. Des manifestations sont encore prévues dans la soirée, notamment à Barcelone.
Les manifestants ont répondu à l'invitation d'une plateforme citoyenne, pas en notre nom, lancée par des artistes, qui a recueilli en moins d'une semaine près de 34.000 signatures sur internet, dont celles des maires de Madrid et de Barcelone, contre le terrorisme et une solution armée après les attentats ayant fait 130 morts et plus de 350 blessés à Paris le 13 novembre.
Le président français François Hollande tente depuis de mettre sur pied une grande coalition pour lutter contre groupe jihadiste Etat islamique (EI) qui a revendiqué ces attentats.
Mais le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy semble éviter toute initiative avant les élections législatives du 20 décembre. Les décisions, comme dans n'importe quel aspect de la vie, il faut bien les penser, a dit samedi Mariano Rajoy. Le gouvernement parle avec (ses) alliés, attend qu'un plan soit approuvé.
En mars 2004 les conservateurs menés par Jose Maria Aznar, qui avait soutenu l'invasion américaine en Irak en 2003, perdaient les élections législatives, trois jours après des attentats à Madrid attribués aux islamistes ( 191 morts).
A moins d'un mois des législatives du 20 décembre Mariano Rajoy, dont le gouvernement assure ne pas avoir reçu de demande précise de la France, tente donc d'éviter le piège dans lequel a sombré son prédécesseur dans un pays historiquement pacifiste.
Le chef de l'opposition socialiste Pedro Sanchez, estime de son côté que déployer des troupes en Irak serait une erreur, tandis que le numéro un du parti de gauche Podemos, Pablo Iglesias, défend l'idée d'un référendum.