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Manif contre le projet antiterroriste du gouvernement hongrois
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(Le Monde) Plusieurs centaines de personnes ont manifesté dimanche 24 janvier à Budapest contre un projet de mesures antiterroristes du gouvernement. « Ce plan sonnerait la fin de la démocratie, une fois pour toute », a lancé l’organisateur du rassemblement, Lajos Bokros, aux près de 800 individus réunis devant le parlement.
Selon le texte, qui a fuité dans les médias la semaine dernière, l’exécutif veutamender la constitution en créant une nouvelle catégorie d’urgence : « la situation de menace terroriste ». Si elle était instaurée, celle-ci autoriserait la prise de décrets d’exception, suspendrait certaines lois et en modifierait d’autres.
Parmi la trentaine de propositions figurent aussi le contrôle d’Internet, le déploiement de l’armée dans le pays, et l’imposition d’un couvre-feu dans certaines zones.
Système démocratique de contrôle des pouvoirs
Les critiques de ce texte, parmi lesquels des partis d’opposition et des défenseurs des droits de l’homme, estiment que la notion de « menace terroriste » n’est pas définie clairement, ouvrant la voie à des restrictions des libertés civiques.
Le train de mesures doit être débattu au parlement le mois prochain, a précisé dans une interview publiée la semaine dernière Gergely Gulyas, un député du Fidesz, le parti populiste du premier ministre Viktor Orban. Selon cet élu, desdiscussions avec l’opposition sont en cours. Et de nier que Fidesz veuilleaccaparer « tous les pouvoirs ».
Depuis son arrivée au pouvoir en 2010, le gouvernement Orban a souvent été accusé de démanteler le système démocratique de contrôle des pouvoirs. Néanmoins, depuis qu’il a perdu sa majorité absolue au parlement en février, il a besoin de quelques voix de députés d’opposition pour faire adopter des amendements constitutionnels.