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Calais: La manif des militaires pro-Piquemal en voie d’interdiction
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
POLICE - La préfecture du Pas-de-Calais est sur le point d'interdire le rassemblement organisé le 20 février par des soutiens de Christian Piquemal...
Ils pouvaient s’y attendre. Les anciens militaires et autres soutiens du général Piquemal,qui souhaitaient se rassembler à Calais le 20 février, ne seront pas les bienvenus.
A trois jours de la manifestation, la préfecture du Pas-de-Calais vient d’indiquer, ce 17 février, qu’un « processus d’interdiction de ce rassemblement » était en cours. « Des éléments tangibles démontrent que ce rassemblement présente le risque de générer des affrontements entre la mouvance ultra droite et la mouvance ultra gauche à Calais ».
Soutien à Christian Piquemal et aux Calaisiens
L’appel à manifester, déclaré aux autorités le 11 février, émanait « d’un rassemblement citoyen, formé d’anciens militaires en OPEX (opérations de l’armée à l’étranger), de France et de l’international qui viendraient ainsi montrer aux Calaisiens qu’ils ne sont pas abandonnés ».
Sur Facebook, les organisateurs entendent également soutenir l’ancien général Christian Piquemal, arrêté le 6 février à Calais alors qu’il participait à une manifestation Pegida déjà interdite par la préfecture.
C’est aussi à cette manifestation interdite du 6 février que la préfecture du Pas-de-Calais fait référence, dans son processus d’interdiction. « Des troubles à l’ordre public avaient été enregistrés, nécessitant l’intervention des forces de police à plusieurs reprises », précisent les autorités.
Répondant au principal instigateur du rassemblement du 20 février, la maire de Calais Natacha Bouchart (LR) a indiqué le 16 février qu’elle ne pourrait pas donner une suite favorable à la demande de rassemblement, qui devait se tenir le samedi après-midi entre la gare de Calais et le stade du souvenir.
Sur Facebook, l’un des organisateurs précise qu’une mise au point a eu lieu avec le collectif « Sauvons Calais », afin que ceux qui entendent venir le 20 février n’apportent « pas de signe à provenance racial, pas de geste, pas de banderoles, pas de slogans provocateurs ou a caractère racial. »




