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Dix-sept parlementaires d’opposition prêts à voter la réforme du code du travail
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Dix-sept parlementaires de l’opposition se disent, dans une tribune parue dans le quotidien L’Opinion vendredi 26 février, prêts à voter le projet de loi du gouvernement sur la réforme du code du travail s’il n’est pas « édulcoré ».
Ces 16 députés et ce sénateur (14 Les Républicains et 3 UDI), dont Benoist Apparu, Nathalie Kosciusko-Morizet, Gérard Longuet et Philippe Vigier « mettent en garde le gouvernement contre tout affaiblissement de ce projet de loi », qui « va dans le bon sens ».
Les signataires proposent même « d’aller plus loin » et veulent défendre lors du débat parlementaire des ajouts au projet de loi par le biais d’amendements. « Pour libérer véritablement la création d’emploi, il faut supprimer la durée légale unique du travail et confier sa fixation à des accords de branche et d’entreprise » écrivent-ils ainsi.
Ils entendent également tenter de faciliter encore davantage le licenciement et élargir la possibilité de procéder à un référendum d’entreprise.
Les parlementaires aimeraient également pouvoir « modifier les seuils sociaux » et plus spécifiquement « relever de 50 à 100 salariés le seuil de création d’un comité d’entreprise et de 11 à 20 celui des délégués du personnel ». Ils appellent aussi à « supprimer les CHSCT, dont les fonctions font souvent double emploi avec celles des comités d’entreprise ».
Les signataires de la tribune appellent enfin de leurs vœux « une réforme du syndicalisme », afin « d’améliorer la qualité de la négociation collective en France et la représentativité des organisations syndicales ».
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(afp) Loi travail: Juppé la voterait si elle était présentée telle quelle
Alain Juppé intervient de nouveau dans le débat sur le projet de loi El Khomri sur la réforme du code du travail. Le candidat à la primaire de la droite, invité jeudi sur BFMTV, a déclaré qu'il voterait la loi si elle était présentée «comme elle est sur la table» s'il était parlementaire.
«Ce texte va être complètement modifié, vraisemblablement dénaturé par ce qu'on peut encore appeler la majorité socialiste au gouvernement», a jugé l'ex-Premier ministre. «De toute façon, il ne va pas assez loin», a-t-il ajouté. «Madame Aubry nous a plombés, avec les 35 heures il y a quelques années, quand elle parle de "modernité" aujourd'hui, cela fait sourire», a-t-il aussi commenté.
«On voit bien qu'aujourd'hui tout le monde attend 2017»
Lundi, Alain Juppé avait estimé que ce projet était «mal préparé», «pas d'inspiration socialiste» et «plutôt d'inspiration libérale». «Même s'il y a des choses qui vont dans la bonne direction», ce projet de loi est «improvisé, mal préparé, mal équilibré».
«Je sais que le boulot de Premier ministre est un boulot très difficile mais enfin je ne peux pas dire que je suis très admiratif de ce qui se passe aujourd'hui», a-t-il relevé, interrogé sur Manuel Valls. «On voit bien qu'aujourd'hui tout le monde attend 2017», a-t-il lancé.




