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5000 personnes samedi à Paris contre le chomage et ....pas un mot dans les média
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PARIS (AP) — Quelques milliers de personnes (5.000 selon les organisateurs), ont participé samedi à Paris à une "Marche nationale pour l’emploi" à l’appel de l’union syndicale Solidaires. A moins d’un mois du premier tour de l’élection présidentielle, Solidaires réclame "d’autres choix économiques et sociaux" et l’ouverture d’un débat sur la réduction du temps de travail à 32 heures hebdomadaires avec l’objectif de "travailler moins pour travailler tous".
Partis de la place de la Bourse, les manifestants ont défilé jusqu’à la place Stalingrad sous un soleil printanier, derrière une banderole : "Salaire, emploi, c’est un droit".
En tête de cortège, beaucoup de manifestants portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : "Travailler moins pour travailler tous". Des militants syndicaux de Sud -principal syndicat de l’union Solidaires- de la FNAC, de Virgin ou encore de PSA participaient au défilé.
"La question de l’emploi est aujourd’hui une priorité. Nous sommes là pour dire que les politiques de l’emploi menées ces dix dernières années, et notamment par le gouvernement Sarkozy, ont aggravé la situation mais dire aussi qu’il y a des résistances et des gens qui luttent", a déclaré Annick Coupé, porte-parole de Solidaires.
"En cette période de campagne, nous devons proposer des alternatives", a-t-elle ajouté, citant notamment la mise en place d’un "droit de veto dans les comités d’entreprise", le renforcement des droits des salariés dans les petites entreprises sans présence syndicale ou encore "la nécessité d’un débat sur une nouvelle réduction du temps de travail à 32 heures".
"Mais quel que soit la résultat des élections, la mobilisation sociale pour faire bouger les choses ne s’arrêtera pas", a-t-elle assuré.
Quant à la participation modeste à la manifestation, "le fait que l’union Solidaires ait appelé seule et qu’on soit en période électorale n’a pas rendu les choses faciles. Ça n’a pas été possible avec l’intersyndicale, donc on a pris nos responsabilités".




