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    Echos des manifs du 9 avril

    Khomri

    Lien publiée le 10 avril 2016

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    Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

    https://npa2009.org/actualite/social-autres/echos-des-manifestations-du-9-avril

    Bordeaux

    Entre 5000 et 10000 à Bordeaux suivant qui compte... avec un gros cortège CGT. Les jeunes moins nombreux (1er jour des congés scolaires) et dispersés par groupes dans la manif. 
    A noter qu'après la dissolution "officielle" le cortège a continué joyeusement avec Solidaires, la CNT, le NPA, LO, les jeunes et pas mal de monde jusqu'au point de départ initial sur la place où doit se tenir ce soir la "nuit debout". Cela faisait un joli cortège que l'UD CGT, la FSU et FO ont regardé passer...

    La Nuit debout a regroupé au moins 1000 à 1500 personnes. Une longue AG avec donc des intervs bien et d'autres moins bien forcément mais dans l'ensemble plutôt radicales. Globalement une ambiance très bonne. Pas mal de gens sont partis mais le discours global est bien de rester toute la nuit et les prochains jours. Encore beaucoup de monde par exemple pour le début de la projection de Merci patron. Aucune présence policière visible au début.

    Metz

    Entre 1000 et 2000 à Metz, 5 fois moins que le 31. Ça marquait pas mal les esprits sans que ça ait l'air de démoraliser. Pas mal de discussions sur la stratégie. Syndicale sur les manifs du samedi et la date du 28 qui semble très éloignée au delà des cercles habituels proche de l'extrême gauche.

    CGT très présente, fo nombreux tout de même, fsu absents à un drapeau près, solidaires tout petit, cnt pas mal. Pas de cortège jeunes (vacances).
    Première Nuit debout hier soir. Plusieurs centaine. Très organisé. Discussions dans tous les sens de la monnaie locale à l'emploi mais quasi absence de la loi travail et du mouvement. Pas mal d'expression interessante de colère et d'une contestation générale du systeme mais sans jamais noter les capitalistes, le gouvernement. Les camarades qui étaient à nuit debout hier et à la manif aujourd'hui n'ont pas vu les nuits deboutistes à la manif hors des militants connu.

    Rouen

    Environ 5 000 personnes, sous une pluie dilluvienne (contre 25 000 le 31 mars). Peu de jeunes notamment côté lycéens : il faut dire qu'on est en plein milieu des vacances scolaires ! Cortèges CGT et Solidaires importants, tout petit cortège de FO, absence totale de la FSU. Sur les prises de paroles, FO et CGT ont parlé du 28 avril, mais du côté de la CGT, c'est sûr que ça coince chez les militants combattifs sur le fait que la date est loin et n'est présentée que comme une journée carrée de nouveau. Pour Solidaires, intervention insistant sur le fait que le 28 ne devait pas être une journée de plus, après toutes celles qu'on a déjà faites mais bien le début de la grève qui démarre vraiment de manière continue, "le 29, on continue". Concernant "Nuit debout", un petit campement était déjà installé place de l'hôtel de ville, lieu d'arrivée de la manif. Solidaires avait tiré 1000 tracts pour appeler à la l'initiative. Une manif qui avait plutôt des allures de manif militante, car à l'inverse, on a perdu tout un tas de gens, soit en congés, soit pas motivés par les samedis. La manif s'est vite dispersée, malgré les appels à la nuit Debout dans la foulée. Une nouvelle intersyndicale a lieu lundi 11 à Rouen, pour discuter et appeler il faut l'espérer à des initiatives entre le 9 et le 28.

    Sur la Nuit debout : une AG était appelée à 17h30. A 18h15 précises, alors qu'il n'y avait pas plus d'une grosse centaine de personnes sur la place en AG, les flics ont encerclé la place de la mairie, il y avait 20 cars de police ! Totalement disproportionné, presque délirant, ils ont chargé une fois sans plus attendre, nous repoussant en dehors de la place. Pendant une heure et demie ils nous ont tenu à l'écart de la place, quelques accrochages mineurs ont eu lieu, mais pendant ce temps, un camion benne est venu emporter toutes les installations du campement... ag désorganisée, gros bordel entre ceux qui voulaient tenir l'ag ailleurs et ceux qui voulaient aller reprendre la place aux flics... Les flics se sont repliés au bout d'une heure et demie et l'ag a pu se dérouler sur la place, il restait quelques dizaines de personnes. L'idée de rester toute la nuit sans semblait peu partagée.

    Grenoble

    Manif du 40 mars encore bien sérieuse. Moins que le 31, mais environ 15 000 ! Cortèges syndicaux moins forts que le 31 (Fsu, en entrée de vacances, pas si mal, visible en tous cas). Gros cortège "jeunes", l'ensemble assez dynamique.

    "Nuit debout" lancée à Grenoble, cette fois avec l'aval de la mairie (mairie Pg-Verts avait participé à empêcher un premier essai le 31). Dans un espace pas central, mais un cadre qui a quand même des avantages, au moins pour le WE. Environ 500 personnes y étaient présent/es à l'AG de 18h (prochaine "pleinière" demain même heure). Ce soir, commissions, ateliers, concerts, film Merci Patron etc. Encore bien 300 personnes (mais ça va ça vient) en début de nuit, assez varié dans les participant/es, bon spectre du mouvement social et ambiance solidaire.

    Rennes

    En ce samedi de milieu de vacances, plus de 5000 personnes se sont à nouveau mobilisées à Rennes pour demander le retrait du projet de loi Travail.

     

    Vers Midi, la manifestation composée d'étudiantEs, de salariéEs parfois venuEs en famille s'est dirigée vers les quais, et A fait une boucle pour aller vers la place de Bretagne. A peine une demi-heure après le démarrage de la manifestation, celle-ci a été bloquée par des tirs de gaz irritants en quantité démesurée. DéterminéEs, les manifestantEs ont continué le parcours malgré les nombreuses provocations policières. Parmi les slogans demandant le "retrait de la loi EL Khomri", d'autres sont venus spontanément tel celui-ci "Police Nationale, Police du capital !". D'autres slogans ont également révélé la colère des manifestantEs contre la volonté de la Mairie (PS…) d'interdire le centre-ville aux manifestants par des dispositifs policiers disproportionnés et agressifs. A l'issue du parcours, les syndicats ont condamné la violence des forces de l'ordre. La manifestation s'est poursuivie vers l'esplanade De Gaulle, suivie de près par des bataillons de robocops, provocants et insultants la fin du cortège qui a répondu de manière pacifique en occupant le carrefour d'entrée de l'esplanade. Un nouveau cortège conséquent, constitué d'étudiantEs et de précaires s'est reformé et est retourné vers le centre ville. Subissant violences et provocations policières tout au long du parcours, la manifestation s'est dirigée vers la Place des Lices en cours de nettoyage après le marché de ce samedi matin.

    Un feu allumé avec des cagettes et des palettes a été la bonne excuse pour les forces de l'ordre pour charger en gazant et matraquant à tout va, sans oublier les tirs fournis de flash balls. Bilan de cette après midi de contestation : au moins 4 interpellations dont nous demandons la libération immédiate sans poursuites judiciaires et une vingtaine de blésséEs. La réussite de cette journée de contestation pendant les vacances scolaires montre l’exaspération des manifestantEs face à l’Etat policier et une détermination importante contre une loi qui casse les droits de travailleurs pour satisfaire les intérêts du patronat. Il est vraiment temps de mettre un coup d’arrêt à la régression sociale et démocratique.

    Bretagne

    BREST    3.000

    QUIMPER   1.500 : Majoritairement CGT, FO, Solidaires et la CNT, Unsa transport n'était pas présent cette fois-çi, quelques adhérents de la CFDT. Pour les politiques, 1 drapeau du PCF, Ensemble (une bonne dizaine) et le NPA bien sûr. Trés peu de lycéens à cause des vacances scolaires. Constitution d'un collectif "contre la loi travail" pour aller vers un collectif "Nuit debout" à l'initiative d'un groupe de jeunes travailleurs: 40 personnes sont restées discuter. On se retrouve mercredi prochain...

    MORLAIX  300

    CARHAIX  150

    QUIMPERLE 500

    Avignon

    Manif en baisse, environ 2500 personnes, peu de jeunes (vacances scolaires en région PACA...).

    Défilé très “plan-plan”, cortège CGT solide, cortège FO peu fourni comme celui de la FSU, Solidaires en nombre un peu plus important que le 31 mars.

    Groupe du NPA, composé d’une trentaine de manifestants, avec drapeaux et mégaphone, ambiance dynamique, certains de nos slogans bien repris.

    Prises de paroles sans élan des représentants des organisations syndicales, ce qui n’est pas bon signe pour la suite. 

    Nuit debout: lancement de l’opération ce soir.Vers 20 h, il y avait 200 personnes sur la grande place devant le Palais des papes.

    Nîmes

    Début de la journée, les lycéens relayés par Attac ont bloqué une banque à son ouverture pendant une heure.

    Plus tard, environ 2 000 personnes ont manifesté (4 000 personnes sur l’ensemble du département : manifs à Bagnols, Alès, Vigan...). Dont une cinquantaine de lycéens. Apparition politique : PCF et NPA (diff du tract hebdo 400).

    Les principaux syndicats étaient représentés. 

    Dans l'après-midi, Action BDS 30 sur le parking de carrefour de Beaucaire, ville tenue par le FN.

    A 16h relance de Nîmes Debout : environ 150 personnes participent à l'assemblée... des personnes partent d'autres reviennent. AG, musique... demain ça devrait reprendre. Une partie des lycéen-nes mobilisé-es sont présént-es.

    Dijon

    3000 manifestants, bien que ce soit le début des vacances. Moins de banderoles d’entreprises que le 31, peu de lycéens et d’étudiants, mais plus de monde que le 9 mars par exemple.

    Pas de sentiment de recul, cortège soutenu, assez “familial”, avec une partie de participants différents des manifs précédentes.

    Le cortège est à nouveau passé par le centre ville, ce qui constitue une reconquête, après les interdictions de la préfecture pendant un an et demi.

     

    Cette fois-ci, même si les confédés n’étaient pas très chaudes pour la “nuit debout”, on a obtenu – notamment avec la volonté de Solidaires, de terminer la manif sur une place qui permettait d’organiser débats et concert. La mobilisation récente des intermittents du spectacle a permis de donner d’avantage la dimension festive pour cette première “nuit debout”.

    Après la manif, un débat général (400 personnes à l’AG) a eu lieu, dans lequel nous sommes intervenus, pour développer sur : la nécessité du “tous ensemble”, de dépasser les journées d’action, le blocage de l’économie avec la grève générale, la contestation du gouvernement au-delà de la loi El Khomri. Interventions plutôt bien passées et du coup, interv rapide sur France 3. Vente de canards. Aucun syndicat n’est intervenu.

    Perpignan

    Rassemblement le midi. Autour de 1000. Participation bien moindre comme constaté dans d'autres villes. Très peu de jeunes.  Pas de défilé. Prises de parole des syndicats et partis (dont nous...).

    Puis rassemblement "nuit debout". Pour le moment, un peu plus de 300 personnes.

    Lyon

    Quinze mille selon la CGT mais c'est exagéré. Un peu en retrait par rapport au 31 mars, moins de  jeunes. C'est le premier jour des vacances. A noter, de gros cortèges politiques ; CGA, JC, NPA

    Fait remarquable : 200 personnes dans le cortège NPA, très dynamique. Tout le monde scandait les slogans, sans se lasser, tout le long du parcours. Faut dire que l'animation était de qualité. Et, avant l'arrivée à Bellecour, les vitres des immeubles trembaient avec "ANTI, ANTI, ANTICAPITALISTE. Entrée remarquée sur la place.

    La nuit debout s'est mise en place avec pas mal de monde (très jeune) sur la place Guichard.

    Angoulème

    Entre 1000 (syndicats) et 600 (autorités) personnes. C'est moins que le 31 mars (entre 4500 et 6000) mais mieux que le rassemblement du 5 avril. L'intersyndicale avait innové en convoquant la manif dans une zone commerciale de la périphérie d'Angoulême. Un peu tristounet comme parcours... Peu de jeunes, ce sont les vacances, et essentiellement les militantEs et sympathisantEs de la CGT - très majoritaires - , de FO avec un slogans sur le retrait et la grève générale,  Solidaires16, FSU...

    Le PCF distribuait un tract pour une réunion publique "ouverte" sur... 2017. Présence de LO et NPA avec nos canards. 

    Dans la foulée, réunion du collectif "Résistance" issu de 2012. Une 20aine de personnes essentiellement, Solidaires, NPA et une copine du PG, plus quelques personnes inorganisées. Bonne discussion sur le mouvement et les perspectives.

    Hier vendredi, rassemblement le soir au tour de "Nuit debout". Environ 80 personnes rassemblées en permanence, avec des passages plus ou moins nombreux toute la soirée. Estimation à environ 200 personnes qui sont venus voir et discuter.  La mairie a déplacé au dernier moment le lieu de rassemblement pour nous isoler sur une place pas sympa et les deux "tivolis" promis par la mairie n'ont finalement pas été installés sur contre ordre de la Préfecture qui a quand même, royale, fourni un branchement électrique.

    J'ai retrouvé plusieurs copains de la CGT qui sont passés, intéressés par les débats. L'UD CGT s'est tenue bien à l'écart de cette initiative.

    Laons-le-Saunier

    Petite manif, 500 manifestants comme le 9 mars alors qu'on était 1200 le 31 mars : Ici aussi les vacances ont commencé aujourd'hui d'où très peu de jeunes. Déception partagée dans le cortège...

    Par contre, 1ère Nuit debout hier soir appelée par Solidaires et NPA : 50 personnes, c'est un bon début pour notre petite ville. On y a rencontré des "têtes nouvelles" mais bien remontés contre tout ce qui est parti et syndicats...donc pas mal de discussions.

    On recommence ce soir en l'ayant annoncée dans la manif.

    Idem demain soir avec une fondue géante...

    Alençon

    250 personnes (1200 personnes le 31), très peu de jeunes, mais c'était le samedi du milieu des vacances. CGT la moitié du cortège, un peu Solidaires, et très très peu FSU. 

    Le copain de Sud santé a pris la parole pour appeler à la convergence des luttes, à la grève générale et à la Nuit Debout !

    AG du collectif "On vaut mieux que ça" ensuite réunissant 10 personnes pour discuter des suites (manif de droitttte le 16, Nuit Debout le 23 et initiative/Panama/Société Générale le 20 au midi)

    D'après nos infos, les lycéens débattront le lundi 18, repris des cours, pour rebloquer à partir du mardi

    Mulhouse

    Aujourd'hui malgré tous les blocages et le refus par un grand nombre de militants que la suite soit une journée de mobilisation un samedi, et en province dans beaucoup de villes le matin, nous étions entre 900 et 1000 a  Mulhouse  .

    Très bonne participation pour un samedi, avec  un cortège fourni , et ceci malgré le peut d'appel a la manifestation dans les entreprises. Seul la CGT chez PSA  a appelé à la manifestation, une petit représentation FO dans le cortège , pas de CFDT ou alors de façons isolé avec comme argument de la CFDT Métallurgie ," nous avons refusé de manifester le samedi avec Berger c'est pas  pour l'accepter aujourd'hui"  .

    Le gros de la manif était composée par la CGT , LO , cortège NPA bien dynamique drapeaux très visible , le PC et la coordination des Lycéens , ce dégage une ambiance que ceci n'est qu'une étape .

    Chez l'ensemble des manifestants, il apparait que l'appel pour le 28 avril semble bien trop lointain , alors que la jeunesse propose des dates bien plus en rapport pour généraliser la grève la ou cela  est possible .

    Beaucoup de slogans pour une grève générale.

    Valence

    1500 personnes, très peu de jeunes. Soit 6 fois moins que le 31 et c'est une manif des départements Drôme et Ardèche...

    Une grosse dizaine de militants NPA, sous  les couleurs du parti en plus des quelques  un sous étiquette syndicales. Présence FSU très faible, absence de Solidaire 

    Une trentaine de personnes sont restées après la manif. Pour commencer une "nuit debout" et discuter de construire la mobilisation.

    Pau

    2000 personnes à Pau, surtout CGT, quelques drapeaux FSU. C'est 3 fois moins que le 9. Peu de jeunes, les vacances commencent aujourd'hui. Mardi dernier, pas de manif, mais une nuit debout mardi dernier qui a rassemblé une cinquantaine de personnes. Un nouvel appel pour ce soir.

    Semaine militante chargée à Pau après les actions contre le sommet mondial du pétrole offshore du 5 au 7 avril.

    Chambéry

    La manif a eu lieu le matin : entre 600 et 800 personnes, soit 6 fois moins qu'il y a 5 jours. Du coup, l'intersyndicale a raccourci le défilé prévu. On a surtout mobilisé le milieu militant, essentiellement CGT et FO, avec les caractéristiques habituelles de ce mouvement : ça rame dans le secteur public (postes, cheminots, éduc nat), mais c'est plutôt pas mal dans les boites du privé, avec la présence des équipes syndicales des boites de la métallurgie des vallées qui sont à au moins 1 heure de route de Chambéry. A noter l'absence quasi-totale de la jeunesse : les lycéens sont en vacances et on n'a pas réussi à faire prendre le mouvement sur la fac, où les AG n'ont jamais dépassé 20 personnes.

    Pour la première fois dans le mouvement, nous avions choisi d'apparaître vraiment en tant que NPA, alors que jusqu'à présent on était resté dans nos cortèges syndicaux, en particulier dans celui de la fac, où on a l'essentiel de notre implantation. On a réussi une bonne apparition, en combinant un point fixe et une participation en cortège à la manif.

    Sinon, tout le milieu militant est bien conscient des problèmes du calendrier, avec un grand vide jusqu'au 28/04. Surtout, tout le monde ne jure plus que par les "nuits debouts". Les discussions qui ont eu lieu après la manif ont permis de mettre en place une "nuit debout" à Chambéry.

    Pour pallier les problèmes de calendrier et la faiblesse des cadres d'auto-organisation (pour le moment on n'a eu aucune AG interpro à Chambéry), nous avons aussi demandé une réunion ce lundi du collectif AAA. C'est à travers ce collectif, qui fonctionne bien à Chambéry depuis maintenant 2 ans, qu'on avait préparé le mouvement, en organisant il y a 6 semaines une réunion sur la casse du code du travail avec notre camarade Patrick Le Moal et nous espérons pouvoir nous en servir dans les jours qui viennent comme cadre d'action mais aussi d'autoorganisation, si les nuits debout ne prennent pas.