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Grève à l’usine Ford
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
http://www.anti-k.org/2016/04/20/greve-a-lusine-ford/
Une journée de « blocage » de l’usine Ford de Blanquefort (Gironde) a été lancée mercredi par plusieurs syndicats, pour réclamer « une vraie augmentation de salaire », une grève qui ralentissait pour moitié l’activité de l’usine, selon la direction. Par ailleurs, Philippe Poutou, syndicaliste CGT de cette usine, candidat à l’élection présidentielle en 2017 pour le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), sera dans l’après-midi entendu par la police pour des manifestations menées en 2012 et 2014 au Salon de l’Auto de Paris.
Les syndicats CGT-FO-CFTC de l’usine automobile Ford FAI mènent depuis 06H00 une grève de 24 heures pour réclamer « une vraie augmentation de salaire » car « la direction ne propose que 1% » et que « 3,5 milliards de dollars sont redistribués sous forme de dividendes pour les actionnaires en 2015 », indique la CGT dans un communiqué. Selon les syndicats, de 200 à 300 salariés sont répartis « en quatre points de blocage » autour de l’usine. Selon la direction de Ford, cette grève entraîne « 50% d’inactivité de l’usine ». « L’usine ne tourne quasiment pas. On bloque les entrées et sorties de camions ce qui perturbe l’acheminement en pièces », a indiqué à l’AFP Philippe Poutou, qui travaille dans l’usine de fabrication de pièces automobiles pour le constructeur américain.
« La donne sociale actuelle avec la mobilisation contre la loi travail et ces fortunes énormes pour les dirigeants » des constructeurs automobiles « qui mènent une politique d’austérité contre les salariés, à un moment ça ne passe plus », a-t-il estimé. Dans l’après-midi, Philippe Poutou, 49 ans, sera le dernier de quatre syndicalistes bordelais (trois CGT, un CFTC) à être entendu par les policiers suite à une plainte pour « dégradations » déposée par la direction de Ford à l’issue de manifestations menées en 2012 et 2014 au Salon de l’Auto à Paris sur le stand du constructeur. Selon un sondage paru le 16 avril, Philippe Poutou serait crédité de 2% des intentions de vote au 1er tour de la présidentielle. « On a commencé à travailler et à sillonner les routes pour obtenir les 500 promesses de parrainage », a-t-il indiqué mercredi.




