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Gard : vers un référendum pour les salariés d’Haribo
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
http://www.midilibre.fr/2016/05/13/haribo-vers-un-referendum,1331682.php
Le plan de départs volontaires sera examiné par le CHSCT avec l'avis du cabinet d'expert mandaté.
Ce jeudi 12 mai, la CGT appelait ses sections à manifester devant l'usine Haribo d'Uzès. Et ce au lendemain d'une réunion tenue entre direction et salariés sur ce même site. En cause : toujours le plan de départs volontaires, la réorganisation qu'il impliquera et les efforts demandés par la direction aux salariés. Cent postes devraient disparaître en France, dont près de la moitié sur le site d'Uzès.
"À la CGT de prendre ses responsabilités"
"Le CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) a mandaté un expert pour déterminer les conséquences du plan sur le personnel, explique Michel Mirabel, délégué CGT. La direction attend ça pour mettre en place le plan. On devrait s'orienter vers un référendum. Ils nous disent qu'ensuite il n'y aura pas de licenciement sec mais promettent une baisse de l'activité si le plan n'est pas appliqué."
FO et CGC ont, de leur côté, "émis un avis favorable à la globalité du plan", reconnaît Jean Fauquet, délégué syndical FO. "Il nous garantirait les tonnages actuels jusqu'en 2020. Mais il nous faut améliorer la compétitivité par rapport aux autres sites du groupe de façon à ce que la France redevienne attractive et puisse augmenter son tonnage."
L'idée d'un référendum
Pour FO, c'est fin mai-début juin que le cabinet mandaté par le CHSCT rendra son avis. "Puis nous aurons un comité central d'entreprise à Marseille et une décision du comité d'Uzès." Si l'accord doit être signé avec les organisations syndicales, Jean Fauquet souligne que des salariés, syndiqués ou non, ont demandé mercredi à être consultés sur le plan, validant ainsi l'idée d'un référendum. Une consultation qui n'aura aucune incidence légale néanmoins, le plan devant recevoir l'aval syndical.
"Il arrive cependant que le syndicat majoritaire ne signe pas l'accord mais choisisse de ne pas le dénoncer. Ce sera donc à la CGT de prendre ses responsabilités", conclut Jean Fauquet.