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Mélenchon reconnaît avoir été à la remise de Légion d’honneur de Buisson
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
PARIS, 16 avr 2012 (AFP)
Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, a reconnu lundi avoir assisté en 2007 à la remise de la Légion d'honneur à Patrick Buisson, conseiller de Nicolas Sarkozy, par le chef de l'Etat, tout en assurant qu'il n'était "pas un ami" du récipiendaire.
Interrogé sur RMC-BFMTV, M. Mélenchon a affirmé : "nous nous sommes vus sur des plateaux de télévision" sur LCI en 2007, "je ne suis pas ami avec M. Buisson, qu'est-ce que c'est que cette invention?"
Et puis "pourquoi vous me parlez de M. Buisson? Après vous allez me parler de M. Dassault? Vous avez encore beaucoup de ragots comme ça?", "vous croyez que c'est intéressant de savoir si je suis ami de vos mondanités?" et "vous, vous fréquentez qui?", a-t-il lancé, agacé, à Jean-Jacques Bourdin.
"Mais moi, je n'ai aucun pote à l'Elysée, moi, aucun", a rétorqué le journaliste. "Eh ben moi non plus", a dit M. Mélenchon avant de répondre: "oui j'étais à sa remise de Légion d'honneur" par Nicolas Sarkozy, ce qu'avait indiqué le Nouvel Observateur du 12 avril.
Et, a ajouté M. Mélenchon à M. Bourdin, "si vous m'aviez invité" à votre remise de Légion d'honneur, "j'y serai allé parce que je vous ai à la bonne vu que vous êtes très direct et droit dans vos opinions de droite comme Buisson!, a-t-il lancé.
Dans un entretien au Monde du 14 mars, M. Buisson avait estimé, en parlant de M. Mélenchon, que "le candidat de la gauche populiste sera toujours plus crédible qu'une pâle copie sociale-démocrate dans le registre de la lutte des classes qui réclame une certaine tonicité".
Comme on lui demandait s'il voulait vraiment faire perdre le président-candidat UMP à cette présidentielle, M. Mélenchon a souligné être "un homme de gauche depuis l'âge de 16 ans" et avoir "participé à tous les combats contre toutes les dictatures du monde et tous les gouvernements de droite".
Alors "au nom de quoi quatre petits cire-pompes (médiatiques, ndlr) vont mettre en cause mon appartenance intellectuelle à cette gauche à laquelle je crois", "nous allons faire perdre M. Nicolas Sarkozy parce que c'est la droite thatchérienne et que c'est un monde fini", a-t-il encore dit.




